Imbu de lui-même, François Hollande plastronne le 14 juillet, à 13h, à la télévision...
François Hollande interrogé rudement par David Pujadas, et Gilles Bouleau, venait d'annoncer la fin de l'état d'urgence. Il annonçait le retour de la paix sur l'ensemble du territoire, malgré les menaces d'attentats. Quelle erreur ! François Hollande ne fait jamais rien d'autre que de la politique. Il n'a qu'une obsession, sa réélection. Le gouvernement qu'il préside ne fait pas ce qu'il faut. Il ne cible pas le terrorisme au bon endroit. Georges Fenech a raison de refuser l'Union nationale. Les policiers, contrairement aux prétentions de Bernard Cazeneuve, les militaires français n'ont pas les armes nécessaires, pour lutter efficacement. Charles Pasqua, avant de mourir brutalement, avait mis en garde contre le fait que les soldats patrouillant dans nos rues, n'avaient pas de balles dans leurs chargeurs. Une fois encore, François Hollande, le manipulateur, refuse de voir la vérité. Le danger réel, immédiat, ne vient pas directement de Syrie, d'Irak ou d'Egypte. Le danger provient des banlieues, où, des milliers d'armes de toutes sortes sont engrangées dans les caves. De nombreux jeunes arabes désespérés par l'attitude de notre pouvoir politique, depuis François Mitterrand, ministre de l'Intérieur impitoyable de Guy Mollet, pendant la guerre d'Algérie, reprennent à leur compte les messages djihadistes. Personne, ni Giscard, ni Chirac, ni Jospin, ni Sarkozy, et surtout pas Hollande, n'a rien entrepris de fondamental, pour former cette jeunesse enfermée dans ces ghettos. Plusieurs décennies sans emploi, méprisés, voici ce qu'endurèrent ces jeunes, exclus de notre système social. Oui, l'assassin dans son camion, sur la promenade des Anglais, tuant les promeneurs en ce jour de fête, n'a pas prémédité son acte. Il a décidé de son action mortifère dans l'urgence. Pourquoi ? Je pense, depuis longtemps que François Hollande a tort de provoquer les islamistes aveuglés par leurs principes guerriers. Je crains que l'assassin de Nice n'ait réagi aux propos belliqueux de François Hollande. L'état d'urgence ne pouvait être levé. Une folie de plus pour François Hollande. Un journaliste, à 13h, lui avait posé la question : « Vous levez l'état d'urgence, malgré les menaces d'attentas ? » Réponse du bipolaire Hollande : « Oui, la France ne peut rester éternellement sous l'état d'urgence. » Quelle inconséquence ! Et, bien oui, François Hollande a commis une faute politique majeure. Son estimation de la situation de guerre est fautive. L'état d'urgence ne peut être levé, surtout face aux innombrables menaces d'attentats. François Hollande a pris cette décision pour des raisons politique, pour favoriser sa réélection, pour donner une sensation d'apaisement aux français. C'est raté ! Lamentablement raté !... Des familles françaises : femmes, enfants, adultes, personnes âgées, etc furent décimées. François Hollande n'a plus le droit de se draper dans l'étendard du chef de guerre. Au contraire, dans quelques mois, il devra être jugé pour ce drame national. Il ne peut y avoir deux poids, deux mesures. Hollande à milité pour impliquer Nicolas Sarkozy dans les complicités apportées à Mohammed Merah. Un jugement vient d'être rendu. Nous devrons traîner François Hollande, et, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Jean-Yves Le Drian, pour complicité, devant les tribunaux compétents. L'attitude de révolte de Georges Fenech, et de Christian Estrosi est absolument remarquable. Nous présentons nos sincères condoléances, à toutes les familles des nombreuses victimes.