Incontestablement, Etienne Blanc sera le futur maire de Lyon…
Contrairement aux autres candidats, Etienne Blanc est un lyonnais de souche. Contrairement à ce qu’affirmait le journal le Progrès, définitivement allié aux forces de gauche, qui n’hésitent plus à s’unir aux pires figures de l’extrême-droite lyonnaise, comme un fidèle soutien de Jean-Jacques Queyranne, socialiste défroqué. Cette victoire, Etienne Blanc la devra à Gérard Collomb, lui-même, qui à cause de l’affaire Alexandre Benalla, renonça à son fauteuil doré, et, à son influence auprès d’Emmanuel Macron, dont il fut le premier soutien. Que de fausses notes ! Jusqu’à cet imbroglio municipal qui fit surgir des traîtres congénitaux, et, dans congénitaux, il y a… A Lyon, la défaite de Yann Cucherat entraînera celle de Georges Képénékian, de Thomas Rudigoz, et de David Kimelfeld. Quelle vilaine brochette de traîtres ! Les électeurs lyonnais, comme les électeurs français en général, ne veulent plus de ces fausses valeurs qui encombrent le paysage politique. Ils souhaitent un changement profond et durable. L’écologie bénéficie d’un courant favorable, à cause des propagateurs de thèses sur le réchauffement de la planète. Même, un inconnu à ses chances. A Lyon, cet inconnu, c’est Grégory Doucet, adepte du mirage écologiste. Mais, malgré ce bon vent favorable, ce vert ami des pires figures de l’écologie historique, comme Dominique Voinet, François de Rugy, Cécile Duflot, Delphine Batho, et maintenant, Yannick Jadot, n’aura pas le temps d’être identifié par les Lyonnais. Tant mieux ! Etienne Blanc, lui, au contraire arrive à point avec ses 20% d’opinions favorables pour bénéficier de la gabegie collombinesque. Il fourmille de projets pour Lyon, comme une restructuration des berges du Rhône. Ses équipes sont jeunes et dépassent le contexte de la parité. Depuis, le début, Gérard Collomb l’a méprisé. Le destin semble se décider à lui donner tort. Qu’adviendra t’il de Gérard Collomb, s’il est battu à la Métropole ? En revanche, si Etienne Blanc l’emporte, il lui faudra beaucoup de patience et de fermeté, car, la droite lyonnaise à besoin d’un chef, un vrai !... Alors, plusieurs mandats peuvent lui être acquis !...