Jean-Christophe Cambadélis, l'image parfaite du politicard mafieux...
Que n'a-t-on dit d'injurieux à propos du troskyste, Jean-Christophe Cambadélis ? Et, si nous savions tout. Nous serions dévastés. Il se dit maintenant socialiste. Arlette Laguillier, elle, n'a pas évolué. Elle admire toujours Trotsky. Un fasciste de gauche qui assassina pendant la Révolution léniniste, des millions de paysans et d'ouvriers russes qui n'avaient qu'un seul tort, celui d'être réfractaires au bolchevisme. Derrière Laguillier, il y avait un homme, un troskyste. L'engagement de Laguillier est né de son amour, pour cet homme, qui l'actionnait, comme une marionnette. L'ultra féministe Laguillier pilotée par son amant. Il y a de quoi rire... Cambadélis, lui, ne fait jamais rire. C'est une barbouze. Un tonton Macoute. Un homme de main. Il peut proférer tous les mensonges, toutes les menaces, sans sourciller. Il déclare vouloir réparer, dans les deux dernières années du quinquennat, tout ce qui ne fut pas fait ou mal fagoté. Impossible ! S'il avait la moindre idée, pourquoi Hollande ne l'aurait-il pas réalisée ? Il n'en n'ont pas. Ils naviguent à vue. Cambadélis dénonce Pierre Gattaz et le Medef, comme les ennemis de la Gauche. On rigole. Nous n'avons pas oublié de quelle façon, Vallsarsouille déclara son amour pour le patronat, signifiant ainsi, la trahison par le Parti Socialiste des intérêts des employés et des ouvriers. Et puis, de quel droit républicain, Cambadélis et le Parti Socialiste prétendent-ils gouverner la France? Je rappelle qu'Hollande fut élu avec les voix du Front National, et celle d'un épouvantable traître, François Bayrou. Hollande, à la place qu'il occupe provisoirement, n'est pas le représentant d'un parti, ni celui du peuple d'ailleurs. Les « Sans-Dents » Hollande les méprise. Ainsi, nous ne l'avons pas entendu, à l'occasion des catastrophiques inondations dans le Sud-Est, prononcer un seul mot de soutien à l'intention des malheureux qui vivent des heures et des jours de douleurs morales et physiques. Oui, pas un mot. Il y eut le goguenard Cazeneuve, mais, pour une fois, nous n'avons pas vu Ségolène Royal, pourtant concernée directement, comme ministre de l'écologie. Pas un autre Vert, non plus, pour compatir à la souffrance des naufragés. Ni Duflot, ni Causse, ni Mamère, ni Mamelle, ni Joly, ni Vilaine, ni Placé, etc. Rien. Décidément, chez les Verts, la politique n'est plus rien que la stratégie du strapontin ou du maroquin. Dans les urnes, ils ne représentent rien. Certainement pas 31% comme le prétend, cet ignare de Cambadélis qui n'a jamais su ni lire, ni compter et, qui obtint ses vrais-faux diplômes, par un odieux trafic. Si Cambadélis est lisse à l'extérieur, comme à l'intérieur, cela ne l'empêche pas d'être dangereux. Nicolas Sarkozy doit être prudent. Cambadélis, exécuteur des sales besognes, n'hésitera devant aucune machination. Son programme se définit ainsi : quand on a pas d'idée, on a du pétrole, pour allumer des incendies...