Jean-Jacques Bourdin, l'irresponsable journaliste mégalomaniaque...
Jean-Jacques Bourdin est désormais indigne de figurer dans la rédaction de BFMTV et BFMRadio. Ses dernières déclarations, ses plus récentes prestations font de lui la plus insupportable image de la presse aux ordres. Esclave patenté, il croit avoir tous les droits. Jean-Jacques Bourdin en use, et il en abuse. Il vient d'affirmer, il y a quelques jours, qu'il jouait de son charme physique pour influencer ses interlocutrices. Lundi 14 octobre, il fut inconvenant avec Nathalie Kosciusco-Morizet. D'abord, il lui a très mal parlé. Haussant abusivement le ton, pendant l'entretien. Jeu de mains, jeux de vilains, énonce un dicton français. Pourquoi, Jean-Jacques Bourdin avançait-il sa main gauche, vers celle de Nathalie Kosciusco-Morizet, pendant qu'il l'accablait de ses sempiternelles questions stupides. Jean-Jacques Bourdin est le maître d'un genre journalistique qui fait hélas école, celui de la répétition bête et très méchante, de questions auxquelles, le politique interrogé ne veut pas répondre. Alors, qu'au nom de la Démocratie, il a le droit absolu de les refuser. Comment qualifier l'insistance de Jean-Jacques Bourdin ? C'est le supplice de la question. Un inacceptable manque de respect. Avec de telles méthodes fascisantes, Jean-Jacques Bourdin est prêt pour occuper un poste de ministre de la communication et de la propagande, si par malheur pour la France, Marine Le Pen emportait les municipales, les européennes, la présidentielle, et les législatives. Ces menaces évidentes contre la République et la Démocratie n'effraient pas Jean-Jacques Bourdin. Avec son ton couillonnant de coq de province, Jean-Jacques Bourdin affirmait, il y a quelques jours qu'il était normal qu'il invite Marine Le Pen. Que le Front National était un parti comme les autres. Non ! Jean-Jacques Bourdin, le Front National n'est pas un parti comme les autres. Vous le savez très bien. A moins que vous n'ayez jamais étudié les origines du Front National qui ne doit sa présence sur l'échiquier politique français qu'à la volonté de François Mitterrand, fourbe fransciscard pétainiste, de désunir la droite. Ce vilain jeu, infiniment diabolique, dont les effets furent désamorcés un temps, par la puissance du pacte républicain, devient aujourd'hui, après l'élection de Brignolles, une terrible menace pesant sur la liberté de la France entière, de son peuple aveuglé par les souffrances qui lui sont imposées, par le président Hollande Tartandouille. Halte à la montée du Front National. Il doit être interdit sur tous les supports médiatiques, sans aucune exception. Le Front National est un parti brutal, à l'exemple de ceux qui le soutiennent, comme Alain Delon, le comédien, demandant dans la pire des violences à son fils « de la fermer ». Honte sur Alain Delon. Ainsi, il est devenu infréquentable, contrairement à ce malheureux Gérard Depardieu, insulté par les socialistes de tous poils. Il faut convaincre, l'infatué Jean-Jacques Bourdin et ses patrons de RMC que désormais, plus rien n'est normal dans le monde politique. Stop. On ne joue plus. J'espère que Tartandouille et ses amis, au plus bas dans les sondages, trouveront les actes capables de rendre le Parti Socialiste crédible. A quatre mois du premier tour des élections municipales, rien n'est gagné. On n'inverse pas la machine à perdre d'un claquement de doigts. Si le pacte républicain n'a pas fonctionné à Brignolles, c'est parce que les électeurs du Parti Socialiste sont trop peu nombreux, qu'ils ont changé de camp pour rejoindre celui du Front National. Combien de fils de résistants, d'enfants de prisonniers de la dernière Guerre Mondiale acceptent de voter Front National, trop oppressés par la misère et la faillite qui les menacent quotidiennement. Les prix, les impôts augmentent. La récession est là, partout. Les jolis discours sont impuissants. Ils favorisent, ils crédibilisent les fausses solutions de Marine Le Pen, et ses amis. Jean-Jacques Bourdin doit l'accepter. Le pire, l'ignoble est à venir, en cas de victoire des frontistes. Pour lutter, et c'est le devoir d'un journaliste libre, Jean-Jacques Bourdin doit se démarquer du Front National, et interdire d'antenne, Marine Le Pen, son horrible père, et tous leurs amis.