Jean-Luc Mélanchon, comme je l'avais prédit, la baudruche vient de se dégonfler au premier tour de l'élection présidentielle.
Jean-Luc Mélanchon est capable de tout. Il a cru qu'il pouvait tout penser, tout dire. Les Français l'ont durement sanctionné. La conjuration des médias n'a pas réussi son pari autocratique. En France, les journalistes ont un comportement aux limites du fascisme. Merlanchon bientôt ne sera plus rien. Gouda 1er élu, il sera cantonné par ses ex-congénères du Parti Socialiste au nom d'une haine indéfectible qu'on pouvait lire sur nos écrans de télévision sur le visage bouffi de rancoeur de Ségolène Royal. Jean-Luc Mélanchon fut un cacique du Parti Socialiste. Un adepte de la philosophie de François Mitterrand. Sénateur, il touche environ 17 000 euros par mois. Comme, on rit en pensant à quel point, Mélanchon cocufie le peuple des militants communistes. Quel communisme, au fait ? Celui qui imagina les goulags ? Celui qui tua, assassina des milliers de paysans russes ? Celui de Staline, de Mao ? Oui, quel communisme ? Merlanchon chante comme un merle truqueur. Il réécrit les pires idéologies avec son cerveau mutilé par des années de servitude au sein de la nomenclature socialiste. Merlanchon n'est pas libre. Il ne l'a jamais été. Comment le serait-il maintenant qu'il s'est vendu aux principes fanatiques des communistes. Hollande président ? Celui-ci règlera ses comptes. Elu avec les voix mélanchonesques et communisées, Hollande renverra Jean-Luc dans les oubliettes de l'histoire, d'où cet histrion frénétique n'aurait jamais du sortir. Bon vent la baudruche !...