Jean-Marc Ayrault de son vrai nom Ursule, Théodore, Anatole, Hippolyte, Benoit, Amédée, Alphonse Ayrault est un comique dans le genre triste...
Un peu à la Buster Keaton, c'est son absence de sourire, comme un rictus qui fait rire... Dans le genre sinistre hérault pour annoncer que des mauvaises nouvelles. Ah! Comme, il était donneur de leçons à l'Assemblée Nationale. Il savait tout. Il avait de l'expérience et avait tout compris. Résultat, il est là comme une grande bugne à gérer d'impossibles scénarios, et pourtant, ils étaient prévisibles. François Hollande avait affirmé qu'il n'y aurait pas de condamné au pénal dans son gouvernement. Et vlan, il nomme Ayrault à la tête du gouvernement, condamné pour le pire, le favoritisme dans un marché public. Une spécialité socialiste ? On peut le craindre, quand on voit ce qui ce passe un peu partout dans le système qui tient en survie le Parti Socialiste. Car, il n'y a plus personne dans les fédérations, dans les sections. Les journalistes n'ont pas insisté. Et pourtant, l'affaire Karashi, comme ils nous ont rabattu les roupettes ! Et, le malheureux Woerth, comme il l'ont accablé. Jugé avant d'être condamné. Tiens pour lui, c'était le contraire. Et Georges Tron, est-il vrai que le Front National a voulu le faire tomber en le couvrant de vices ? Un jour, Najat Belkacem, pas encore porte parole du gouvernement et ministre, me demandait : « Mais, monsieur Vollerin, pourquoi ne votez-vous pas à gauche ? » A vous lecteurs, je vais le dire. Parce que malgré mon respect de la Déclaration des Droits de l'Homme, m'a confiance fut mise à mal. J'ai trop vu les Socialistes mentir et manipuler, et parce qu'entre autres faits, je ne pardonne pas à François Mitterrand d'avoir vendu au Groupe Bouygues la chaîne de télévision TF1 avec toutes les archives. Baptiste Ayrault est très bien dans son rôle de prestidigitateur menteur. Personne, mieux que lui ne sait débiter les pires menteries. J'ai été jugé. Mon honneur n'est pas entaché. Elle est bien bonne celle là. Bien-sûr que si. On peut avoir payé sa faute, et ne plus avoir d'honneur, et surtout plus la confiance des électeurs, et du Président de la République, encore moins. Sauf, si ce dernier partage les mêmes choix. Alors là, c'est autre chose. Un autre monde, avec lequel les Français vont devoir apprendre à vivre. Un pouvoir bâti sur l'art du mensonge et des promesses qui se délitent au fil des jours. Un conseil, ne croyez plus aux sornettes de l'impossible héros...