Jean Marc Ayrault, le tyrano imperturbable...
Jean-Marc Ayrault est un homme d'appareil, réglé comme un épuisant métronome. Le 5 mai 2013 au soir, il était sur TF1, en face d'une Claire Chazal effrayée et balbutiante. Le programme de ses questions avait été étudié, préparé à la convenance du premier sinistre. Comme un blond bubbon insolent et engoncé dans son étroit costume de « social traître », il était venu réciter les pitoyables leçons apprises par coeur, dans le bureau de son double brun et gras, Hollande Tartandouille dont le ministre des armées, le terne le Diand fit péter sans motif, un missile anti atomique au dessus des populations innocentes. Envoyez la facture. Au fait, on ne parle plus du coût exorbitant de notre intervention militaire au Mali. Des chiffres!... Des chiffres!... Jean Marc Ayrault, fier à bras tremblotant de rage, sous son masque de placide cacique (il venait d'être copieusement hué par une foule d'opposants au mariage et à l'adoption pour tous), martela, la ganache bravache, que tout allait bien dans le meilleur des mondes, que la reprise arrivait sans se presser, comme dans la chanson d'Henri Salvador. Dormez ! Dormez ! Braves gens... Ecoutez nos promesses. Demain... Demain... Faites-nous confiance. Ayrault a déclaré qu'il n'était pas là pour rêver. Mais, qu'ont ils fait, Hollande Tartandouille et lui, depuis qu'ils sont au pouvoir. Et, cette haine stupide et cupide de l'Allemagne d'Angela Merkel. Tous les jours des mensonges, comme leur élève Jérome Cacahuzac. Le mépris d'Ayrault pour les plus de 250 000 manifestants descendus dans la rue, derrière les banderolles du Front de Gauche, ou de celles des familles françaises venues avec leurs enfants dire leur désaccord profond et défnitif. Mépris... Mépris... Et encore mépris, de la part de ce premier ministre, totalement irresponsable, qui n'a pas eu un mot chaleureux pour les sinistrés des inondations à Dijon, et dans tous les départements des environs. Une véritable catastrophe nationale. Rien à foutre le Jean Marc. Ayrault est reparti droit dans son luxueux costard, comme un homme qui aurait un balai dans le cul, après avoir déclaré que Hollande Tartandouille et lui allaient brader, probablement à des financiers étrangers des chinois, des indiens ou des russes, les derniers actifs de l'Etat Français. Hollande démission ! criaient les manifestants des deux bords. Il faut que les prochains défilés de protestataires s'achèvent devant les grilles de l'Elysée et de Matignon. Un tel mépris mérite un châtiment. Poussons Hollande et son comparse Ayrault, vers la porte de sortie, et le plus rapidement possible.