Jean-Michel Cambadélis joue les chiens de garde...
De François Hollande. Avec son allure de barbouze, on le sent prêt à tout. A court d'arguments, il est disposé à l'emploi de toutes les violences, de tous les dicktats. François Hollande n'est pas le président de tous les Français. Il préside une France socialiste. Toutes les décisions de François Hollande tartandouille visent à établir un état socialiste. Il ne travaille que pour son camp politique. Hollande est un va-t-en guerre dangereux. Incapable de régler les problèmes de chômage dans son pays, il exporte l'attention des électeurs vers l'étranger. Que va t'il s'occuper de la Syrie, en soutenant les jihadistes, en proposant de les armer encore plus ? Nous savons bien ce que coûta aux Américains, l'énorme imprudence d'avoir fourni de l'armement à Ben Laden, l'attaque contre les tours du World Trade Center. François Hollande et Jean-Michel Cambadélis sont des innocents aux mains sales du sang des soldats français. Et, ce n'est probablement pas fini. Ils ont la trouille de voir le nombre de combattants tués au Mali. Que des hommes meurent, ils s'en fichent. L'inopérant Jean-Marc Ayrault peut faire tous les discours incantatoires qu'il peut, devant des catafalques couverts de médailles, il ne retrouvera jamais la confiance des Français. Au contraire, la colère monte, Hollande et Ayrault chutent dans les sondages. Ce ne sont pas les aboiements du bouledogue Cambadélis et son crâne outrageusement gominé, qui inverseront la tendance. Bizarre, les journaux télévisés n'égrènent plus les noms des otages français. Pourquoi ? Malheureux otages, instruments du pouvoir. Les socialistes tartandouilleurs carambouillent aussi la justice. Misérablement désunis, ils se retrouvent pour agresser et anéantir Sarkozy, alors que la déshonorante démission de Jérôme Cacahuzac, prit la main dans le Zac, marque encore nos esprits. Harlem Désir, le faux-gentil, prend la tête de la meute. Les électeurs ne sont pas dupes. Ils le démontrèrent en renvoyant dans les oubliettes électorales, la tristounette candidate de l'Oise qui se présentait, contre Jean-François Mancel. Et quand, Corinne Lepage, Cécile Duflot, Christine Taubira, Noël Mamère, et tous les inconséquents membres de la majorité instable au pouvoir, défendent le respect de la liberté des magistrats, ils oublient de dire que Martine Aubry, mise en examen dans l'affaire de l'amiante, intervient régulièrement pour impressionner le juge instruisant le dossier. On le sait, les socialistes considèrent les magistrats et les journalistes comme des valets. N'ont-ils pas raison ?...