Julien Benedetto, sur France 2, un journaliste prêt à tout...
Il faut voir Julien Benedetto, issu de la nouvelle génération de journalistes, exerçant son pitoyable arrivisme sur France 2, aboyer pour les affirmer, les informations sélectionnées par sa direction, pendant le comité de rédaction. Cet été, Julien Benedetto, brave soldaillon du journalisme aux ordres, a fait consciencieusement son travail de propagandiste entartandouillé. A chacun son destin. Julien Benedetto, le bravache, croyait peut-être entreprendre et réussir une carrière d'observateur de la vie politique, en toute liberté. Il n'en est rien. Mais, Julien Benedetto a-t-il jamais été porté par le moindre soupçon d'idéalisme ? On peut, à juste titre, se le demander, quand on le voit, sans le moindre état d'âme, colporter l'infâme message du président Hollande Tartandouille, sur le bien-être de la population, la fin de la récession, ou, masquer les news capables de le déstabiliser. Et Dieu sait à quel point, il est facile de faire trembler le démoniaque personnage à la tête de l'Etat français qui tient, tout à la fois, de Jacques Doriot et de Marcel Déat. A-t-on jamais vu président plus tartuffe que notre Tartandouille ? Il faut l'entendre s'exprimer à propos du Mali, et maintenant, envers l'Egypte ? Il donne des ordres, lui qui fait une sottise par jour. Lui qui ne cesse d'emprunter pour financer les associations dont il dépend, pour calmer les « jeunes » dans les banlieues en leur versant une nouvelle allocation de plus de 400 €. Chaque semaine, la France emprunte aux pays d'Europe, creusant un peu plus sa dette. Ne l'oublions jamais. A qui, Tartandouille, croit-t-il s'adresser ? Au fait, pourquoi soutient-on les amis musulmans extrémistes de l'ancien président Morsi ? Pourquoi ? Après le fils Mitterrand, Fabius et Hollande Tartandouille auraient-il, là-bas des intérêts dissimulés ? Julien Benedetto s'en fout. Lui, il ne voit que son avenir dans l'audiovisuel public. Le mystérieux déraillement du train, en gare de Brétigny-sur-Orge, Julien Benedetto le passe sous silence, appliquant les décisions prises par sa direction. En revanche, le soir, il épelle les noms de nos otages, légitimant une inefficace action du pépère Hollande Tartandouille. Ah ! Elle est jolie dans notre beau pays de France, la liberté de la presse ! Mais, Julien Benedetto s'en moque, transparent, il continue à sourire, comme un béat...