Julien Dray, impliqué dans une sale histoire en 2009, revient donner des leçons à François Fillon...
Fils d'horloger, il apprécie les montres de prix. Désolé, je connais des horlogers diplômés de la prestigieuse école de Cluses qui ne réparèrent jamais que des montres d'employés, d'ouvriers ou de commerçants. Etre fils d'horloger ne suffit pas à expliquer, et encore moins, à justifier l'addiction de Julien Dray à la possession de montres luxueuses. Après les faits qui lui furent reprochés, on ne parlait plus de Julien Dray. Qu'avait-il fait, lui Julien Dray, député de l'Essonne, donneur de leçons ? Pourquoi, une enquête préliminaire fut-elle ouverte à son encontre le 10 décembre 2009 ? Pourquoi ? Pour des faits présumés d'abus de confiance ! L'association les Parrains de SOS-Racisme et la Fédération indépendante et démocratique lycéenne étaient concernées. Le Parti Socialiste se méfiait de ces actions judiciaires. Après l'affaire Strauss-Kahn, il n'avait pas besoin d'un nouveau scandale. Au Conseil régional d'Ile de France où il était élu, on ne le saluait plus. Au contraire, on l'évitait soigneusement. On aurait dit que Julien Dray sentait mauvais. Lui, si fort pour user de l'insulte gratuite, il n'ouvrait plus sa boîte à canulars. Et, c'était tant mieux ! Comment est-il revenu sur le devant de la scène ? Lui, Julien Dray, l'ami devenu infréquentable du lamentable Dominique Strauss-Kahn que même sa compagne, Anne sinclair désavoue désormais publiquement. Yvan Levaï, son ex-époux demeurant le dernier fidèle à l'homme de la prison de Rikers Island, à New York. Julien Dray était pestiféré, au début du mandat du bipolaire élyséen, parce qu'il aurait participé à une fête d'anniversaire de Strauss-Kahn. Les montres et Strauss-Kahn, c'était trop pour Julien Dray. Il faisait le gros dos, jusqu'à en apparaître bossu. Comment, a-t-il ressurgi dans les médias ? Comment, Jean-Jacques Bourdin, préposé de BFMTV aux missions les plus indécentes, a-t-il choisi de l'inviter, pour dénigrer, pour salir François Fillon ? Parce que depuis quelques temps, Julien Dray revient pour laver l'image d'Hollande. Dray-Hollande, ou, comment faire du sale avec de la crasse ? Socialisme, Dray en a la pleine bouche ! Il y a bien longtemps que plus un socialiste français n'est conforme à l'idéal de Jean Jaurès. Nous n'avons plus que des magouilleurs, au point que les Français se détournent du Parti Socialiste, et, que Benoît Hamon qui braie comme un âne devant les abandons dont il est victime de la part d'un Jean-Yves Le Drian, et bientôt, d'un Bernard Cazeneuve, est menacé de s'effondrer dans les oubliettes de la vie politique française. Il paraît que le Parti Socialiste va disparaître. Nous ne le regretterons pas. Un parti capable, comme le Parti Socialiste de déshonorer un adversaire, comme il le fait avec François Fillon ne mérite pas d'être présent à l'Assemblée Nationale, et encore moins, au Sénat. Faut-il qu'Hollande la tripatouille tremble sur son siège provisoire, pour expédier un plaideur néfaste tel que Julien Dray, devant les caméras ? Devant toutes ces foutreries socialistes, imaginons la victoire de Macron, qu'adviendrait-il ? Bernard Cazeneuve, Jean-Yves Le Drian, Michel Sapin, Stéphane Le Foll, Ségolène Royal, Najat Belkacem, Marisol Touraine, Barbara Pompili retrouveraient leurs fauteuils de ministres, ou de secrétaires d'Etat ! Est-ce ce résultat que vous escomptez au second tour de cette élection présidentielle crapuleuse ? Et pourquoi pas, Julien Dray nommé par Macron, ministre de la Justice. La duplicité socialiste n'en est pas à une ignominie près...