L'épidémie de Coronavirus est devenue un despotisme...
Non, il ne fallait pas prendre le risque de détruire notre économie, en cédant à ceux qui entretenaient la terreur submergeante de l'épidémie de Coronavirus. Actuellement, on dénombre autour de 20 000 décès. En 1918, et, 1919, la grippe espagnole fit 400 000 victimes rien que sur le territoire français. A quoi sert-il, de s'entourer d'un comité de scientifiques, pour n'obtenir aucune réponse permettant de juguler l'action du virus ? En l'absence de compétence réelle, tous les français et les françaises adoptent des discours de médecins. Les experts, tous plus nuls, les uns que les autres, se répandent en commentaires abscons. Philippe Douste-Blazy, François Bricaire, Jean-Paul Hamon, Jérôme Salomon, Rodolphe Gombergh, Rachida Inaoui-Rozé, Stanislas Pol, etc, répondent, péniblement, aux questions des journalistes, trop contents d'occuper à moindre frais les écrans de télévision. Certains ont de véritables profils de calomniateurs, de donneurs, comme Gilles Dhonneur, chef du département d'anesthésie de l'Institut Curie, à l'égard de Didier Raoult, envers lequel, il cultive une inutile polémique. Provocateur déplorable, Macron visita un supermarché, sans porter de masque, dans un supermarché de Bretagne. L'exemple est totalement condamnable. Macron doit être châtié sévérement. Car, 110 000 personnes sont mortes en Europe. Le confinement, dont on mesure mal l'efficacité coûte 41 milliards d'euros de déficit à la Sécurité sociale. De plus, 6 % de français et de françaises seront infectés le 6 mai, date des inscriptions à l'école et à la restauration. 10 millions de salariés sont au chomage partiel. Les restaurateurs vivent toujours dans l'angoisse. La malheureuse porte-parole du gouvernement pratique le rétropédalage. Elle avoue ne plus savoir, s'il sera possible de rouvrir les cafés, et restaurants, comme annoncé, à la date du 15 juin. Pourquoi, avoir dissimulé l'hécatombe dans les Ehpad, 7896 morts ? Macron et Philippe sont responsables de la montée virulente des discours, chez les blouses blanches, bleues, vertes, qu'ils laissèrent, sans arme, pour lutter contre la pandémie, née en Chine. Il faut mettre un terme aux menaces de contagion. Nous devons pouvoir vivre, normalement, comme en Suède, sans être obligés de se soumettre au quotidien, aux vitupérations du personnel soignant. Macron porte d'énormes responsabilités. Nous ne l'oublierons jamais !... Amis, soyons vigilants !...