La manifestation contre la situation des urgences est devenue une volonté de détruire Agnès Buzyn, et ses projets…
Syndicat très minoritaire, en France, face à la puissance de la CFDT, la CGT, toujours influencée par ce qui subsiste du parti communiste, tente de retrouver de l’influence auprès du peuple, en détruisant le travail d’analyse, pendant des mois, des problèmes des services d’urgences par la très rigoureusement scientifique, le docteur et professeur des universités, Agnès Buzin. Celle-ci, en femme d’expérience, propose l’apport de 750 millions d’euros, pour remédier à l’état des urgences dans nos hôpitaux. Le président de la République, Emmanuel Macron, dont la cote vient de remonter de 22% auprès de la jeunesse, lui, parle de plus d’un milliard d’euros. Une chose est certaine, on ne règlera pas la situation des services d’urgences qui rencontre des difficultés, depuis plusieurs décennies, avec des bons sentiments, et, en quelques minutes. Il faudra des mois, des années. C’est le chemin que courageusement propose, Agnès Buzin, en prenant le risque d’être méprisée et insultée par les cégétistes enragés. Quelles furent les propositions et résultats de Dominique Strauss-Kahn, marchandde tableaux entre deux séjours en prison, de Manuel Valls, désormais catalan, de Ségolène Royal ahurie entre deux pôles, de François Hollande, le supérieur bourreur de mou, et, que ferait Bernard Cazeneuve, si, cet indécrottable socialiste, pâle réplique du petit ami de Julie Gayet, était candidat. Il y aurait de quoi rire, si, la situation n’était grotesque et dangereuse, en constatant que la France Insoumise, et, les militants hallucinés de la CGT, partagent les mêmes pensées, à propos des offres d’Agnès Buzin, que les menaçants extrémistes qui entourent Marine Le Pen, et sa nièce, Marion Maréchal-Le Pen. Il faut ajouter à ces inconscients, Patrick Pelloux, l’inventeur ridicule des « facteurs renifleurs » après la canicule de 2003. Amis, soyez vigilants !...