La mort de Robert Herbin est un rappel à la sévérité de notre condition humaine...
Nous étions adolescents. Je jouais ailier droit, à l'Olympique lyonnais, après avoir signé une licence, sur la recommandation d'Aimé Mignot, entraîneur de l'équipe, et, futur manager de l'équipe de France. Mon ami, Richard Rissoan assureur, et grand bénéficiaire de l'épidémie de Coronavirus, de par cette profession privilégiée quand, il ne jouait pas au foot, sur le plateaux rillard, courait les rues de Saint-Etienne, et les allées du stade Geoffroy Guichard, tout en espérant rencontrer, la belle Camille qui deviendrait sa fidèle compagne et, une remarquable collaboratrice de la Lyonnaise de banque, où je fis moi-même, un rapide passage, en 1967. Mon Dieu, comme le temps passe vite. Assistant, dans un silence revendiqué, à la cacophonie généralisée de notre système politique et social, Robert Herbin, lorsqu'il n'écoutait pas de la musique classique, devait s'arracher les cheveux par poignées, heureusement, il n'en manquait pas. Robert Herbin disparaît à un moment, où, notre nation est menacée par l'inconsistance de son président de la République, et celle, de son Premier ministre. Saviez-vous que 7 français sur 10 s'interrogent sur l'opportunité de leur départ, pour favoriser un gouvernement d'union nationale ? En effet, Macron et Philippe, nos concitoyens l'ont compris, dépassent largement leur seuil d'incompétence. Robert Herbin, lui, savait administrer une équipe, lui donner sa force, et toute son efficacité, pour parvenir à la victoire. Macron et Philippe, au contraire, sont les maîtres des catastrophes. Ils viennent, en deux mois, de tuer des milliers d'individus, et, de provoquer la chute abyssale de notre économie. Seul, François Hollande, l'odieux calamiteux, pouvait faire pire ! Macron et Philippe doivent renoncer à leurs responsabilités officielles, car ils sont incapables d'affronter leurs engagements électoraux. Le déconfinement sera impossible, si de tels guignolos, ne sont pas renvoyés dans leurs cages de cirque, en compagnie de leurs congénères, les singes à culs nuls, et, les cacatoès fulminants.