La presse est à l'origine de la dangereuse popularité des gilets jaunes...

La presse n'a pas cessé d'amplifier la présence des gilets jaunes sur les réseaux sociaux. Elle les encourage à rester sur les ronds-points. Les médias apportent un soutien à leurs plus fantasques réclamations. Ils favorisent le passage de la revendication syndicale aux remises en cause de notre système social et politique. On dit n'importe quoi. Et, les micros et les caméras s'offrent aux pires délires. On aura tout entendu. Discrets au départ, les représentants des gilets jaunes apparaissent, souvent autodésignés, bavards, incultes et délirants à la moindre contrariété. Attention à ne pas encourager de futures manifestations à Paris. Les journalistes utilisent tous les représentants de la politique la plus dévaluée : Laurence Rossignol du parti socialiste, Wallerand de Saint-Just fasciste non repenti, Fabien di Philipo député de Moselle, Edouard Rihan Cypel ex-député socialiste, Manuel Bompard de la France insoumise, Francis Lalanne le constant ringard de la chanson, Guillaume Tabard éditorialiste au Figaro, Philippe Gosselin député de la Manche, Geoffroy Didier vice-président de la région île de France, Christian Estrosi girouette méditéranéenne, etc. Les bavards occupent les tribunes, les irresponsables sont partout. L'économie du pays est en danger. Emmanuel Macron accumule les erreurs. Ses partisans, comme Gilles Le Gendre, multiplient les pires déclarations. Mais, les justes cibles sont les patrons voyous comme Lactalis, Leclerc, Vinci autoroute, etc. Les gilets jaunes se trompent d'objectif. Il faut dire l'intelligence et le courage de Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur. Amis, soyez vigilants !...