Le 8 mai de Hollande-Tartandouille...
L'Etat, il s'en fout. Les Français ne l'intéressent que lorsqu'ils deviennent des électeurs. Il faut voir par quel mépris, il a traité les sinistrés de Dijon et de Troyes. Il est au plus bas dans tous les sondages, même ceux de ses amis, même ceux qu'ils trafiquent pour lui. Hollande-Tartandouille voudrait bien rebondir, mais il ne le peut pas. Il est trop mou, trop collé au parquet. Le goudron lui nuit, il s'englue. Hollande-Tartandouille geint. Il se plaint : « personne ne m'aime. Personne ne m'aime ». Avec cette voix à la Jacques Doriot qui aurait fait un stage chez le père Adolf, il nous effraye. Petit, boursouflé et agressif. Comment pourrions-nous l'aimer ? Au Mali, il joua le fier à bras comme un Tartarin entullé. Pas de morts, pas de blessés, pour pas un rond. J'suis un grand guerrier qu'il gueulait. J'suis un chef. J'peux être mauvais, vous savez. Méfiez-vous. Là, on a bien compris. Plus nul, on a jamais connu. Même, le lamentable Jean-François Copé, ou Sarko dans ses pires moments. Jamais, ils n'atteignirent ces sommets dans le ridicule. Et quand on a la pluie contre soi… Pour l'élection, il pleuvait. Quelques jours après, son avion rebroussait chemin à cause de l'orage, et ce matin, la flotte tombait sur les Champs-Elysées, extraordinairement désertés par la population. Pendant ce temps la, les extrémistes musulmans continuent à menacer Paris, à frapper un peu partout. Prêt à tout, Hollande-Tartandouille est allé faire la catin, devant la statue du général de Gaulle, qui de son vivant et devant le pitoyable spectacle qu'il offre à la planète entière de la nation française, lui aurait botté les miches. Tartandouille a mis une heure pour boucler son itinéraire de Crise, puis, il est rentré se faire sécher par dame Trierweiler. Hollande-Tartandouille insiste et demeure sur ses positions. La France est maneuvrable à merci, mais, elle déteste qu'on lui résiste. Ne pas comprendre cela, peut on évoquer alors, un niveau certain de connerie ?...