Lyon, l'odieux bal des francs-maçons, Gérard Collomb et Georges Képénékian...
ls sont partout. Gérard Collomb a reconstitué l'ambiance lyonnaise du temps d'Antoine Gailleton, et surtout, de Victor Augagneur. Il faut être franc-maçon pour obtenir un poste à responsabilité. En son temps, le maire de Villeurbanne, Jean-Paul Bret, avait dénoncé l'autoritarisme de Gérard Collomb. La situation est pire encore. Gérard Collomb manipule les gens avec des idées simplistes. Faux intellectuel, le voici qui cite des mots grecs. A Lyon, en matière de culture, il n'a rien inventé. Tout était en place avant lui. Gérard Collomb est capable d'humilier le président de la République par sa démission intempestive, et de prétendre qu'il conserve d'excellentes relations avec Emmanuel Macron, et son épouse, qui l'appelle « Mon Gégé » dans l'intimité. Gérard Collomb est le roi des magouilles « politichiennes ». Les électeurs ouvrent les yeux sur sa duplicité. Ils ne sont plus dupes. Ils comprennent que pour Gérard Collomb ses collaborateurs sont des pions qu'il déplace à sa guise sur l'échiquier de ses mystifications. Heureusement, il y a des personnalités, comme David Kimelfeld, président de la Métropole, qui n'est pas franc-maçon, et qui manifeste son indépendance. Il peut craindre le pire. Gérard Collomb ne pourra pas cumuler les mandats, mais, il est capable de virer celui qui osera lui résister, par un de ses subterfuges habituels. Sa réélection à la mairie de Lyon sera plus difficile qu'il ne le prévoit naïvement. Gérard Collomb a fait de nombreux cocus, comme le maire de Saint-Cyr au Mont d'Or, Marc Grivel, victime de promesses non tenues. Je vous l'ai dit les francs-maçons sont partout : au Barreau de Lyon, à la Chambre de Commerce, à l'Hôtel-de-Ville, chez les industriels, dans la presse inféodée, etc. Il a entretenu les meilleurs rapports avec les entreprises en ouvrant des chantiers permanents. Depuis son élection, la ville de Lyon ressemble à une tranchée géante, et les Lyonnais ont beaucoup soufferts des nombreux désagréments imposés par la volonté de Gérard Collomb de séduire ces responsables de réseaux d'opinions. Pendant la dernière élection municipale, Michel Havard fit une campagne courageuse. En 2020, Les candidats seront nombreux. Je ne crois pas au pouvoir charismatique de Pascal Blache. Il y aura, peut-être, parmi eux, un ex-ami de Gérard Collomb, de la République en marche, Bruno Bonell, encouragé par Daniel Cohn-Bendit. Mes amis, soyons attentifs, le spectacle sera passionnant !...