La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Lyon people, c'est toujours les mêmes !...

Vendredi, 10 Août, 2018 - 19:45

Appuyés sur des illusions et des subterfuges…

Qui sont-ils ? Il y a bien longtemps que les Lyonnais et les Lyonnaises, ont renoncé à le savoir ! D'ailleurs, c'est tout simple. Depuis le temps, déjà beaucoup trop long, où ils sont présents dans l'horizon médiatique local, ils ne réussirent jamais à s'imposer chez les marchands de journaux. Zéro pointé ! Lyon people ne se vend pas ! Il n'y a pas de lecteurs possibles ! C'est le fiasco définitif ! Tout juste, les habitués des coupeurs de cheveux en quatre. Les origines de cet innommable objet de ressentiment sont complexes. Au départ, il y a la rencontre entre deux étudiants habitués des fonds de classe, des cancres, futurs marchands d'annonces classées, triste destin. Ils partagent les mêmes engouements pour l'extrême-droite. L'un deux, fut même le dirigeant d'un parti fasciste, ce qui ne l'empêcha pas de flagorner, l'actuel ministre de l'Intérieur, alors, candidat à la mairie de Lyon. Relevons que l'un de leurs financiers, ex-fils de pub, méprisé par Jacques Séguéla, et l'univers artistique, en général, demeure un admirateur de la pire des revues politiques du XXe : Minute, sordide poubelle, admirée par un trop célèbre farceur de potins. Ah, elle est vilaine la presse people lyonnaise ! Comme, elle est moche ! Quelle sinistre destinée pour cet ensemble de plumitifs dévoyés. On trouve même dans leur entourage, un politichien à la remorque qui va, allègrement, d'échecs en échecs. Oui, rien ne semble se refuser à eux, dans l'abject, dans le sordide. Mais, comment font-ils financièrement ? Sont-ce des prodiges du commerce infâmant de la publicité mensongère ? Pas du tout ! Non ! Nés dans l'admiration des pires autocraties, ils sont vendus à un marchand juif, spécialisé dans le commerce de breloques, et autres quolifichets factices, recherchés par les épouses de milliardaires russes, sans goût, mais, trop grasses. Il achète des pleines pages, c'est un catalogue à vomir... Je résume l'état de ce maëlstrom improbable. Ils sont à l'extrême-droite. Ils soutiennent Gérard Collomb (ils firent récemment leur couverture avec une angoissante image de Caroline Collomb, prête à mordre), mais, ils offrent une pubicité à leur nouvelle idole, la petite-fille de leur mentor, l'éternel adjudant, Jean-Marie Le Pen, pour l'ouverture de son école qui sera un temple de l'obscurantisme, dans une ville qui lui est déjà trop favorable. Leur mécène est un boutiquier juif. N'est-ce pas fabuleux ! N'y a-t-il pas qu'à Lyon qu'une tambouille, si infecte, soit possible ? Mes amis, j'espère vous avoir informés. A bientôt...