Manuel Valls, à la Rochelle, suait comme un nourrain fiévreux, un jour de foire aux porcs, à Plérin...
Manuel Valls, ou, faites ce que je dis, mais, pas ce que je fais. Ce communiquant retors, toujours l'air coincé dans son costume de nonce apostolique, étriqué et démodé, fit son numéro anthologique de braillard halluciné, marchand sur les pas de ses modèles : Aristide Briand et Burdeau. Il y aurait de quoi rigoler, si, le premier ministre n'avait pas ridiculisé sa fonction, en vitupérant stupidement, suant d'une manière dégradante. Les militants socialistes désespérés par l'absence de programme de leur parti, et, par l'incrédibilité de François Hollande dans le cœur et dans l'esprit des Français, reprirent confiance, et applaudirent cette valseuse marionnette qui dansait une menaçante Gigue, comme d'autres, la Carmagnole. Demain, ils se réveilleront avec la tête vide des promesses de Manuel Valls. Quelle déconvenue ! Sinistre image d'un capitaine qui coulera avec son bateau de politicard, égaré entre la Droite, et l'extrême-Droite, lui qui fait, si souvent, dans les messages « secrets » qu'il envoie aux journalistes vendus, le jeu de Marine Le Pen, et du Front National. Invitez-la à la télé ! Invitez-la à la télé ! Répète ce cabotin inconsistant. La polémique, au sujet de la participation de Marion Maréchal-Le Pen à un débat organisé par des membres de l'église catholique, était une absurdité, en face de la position de la presse nationale qui offre chaque jour une tribune au Front National qui devrait être exclu des plateaux de télévision, car, il ne sera jamais un parti comme les autres. Ses idées sont nourries des pires aberrations excluantes. Attention ! Ne croyez pas à la division du Front National. Je vous le redis. Il s'agit pour moi d'une diversion, aux fins de créer deux partis, et pouvoir se rallier au second tour d'une élection. Depuis la Rochelle, nous savons que le ridicule ne tue plus. Oh ! Le Valls trempé dans sa liquette. Oh ! La tronche du Cambadélis triomphant, comme si, on avait libéré un éléphant de son enclos. Le pachydermique dirigeant socialiste exultait, la boue pour lui depuis toujours, et avant l'affaire de la Mnef, où, il fut condamné, est un ravissement. Il se roule dedans, et entre en extase. Personne ne traîne plus de casseroles que ce vrai méchant, sélectionné pour sa hargne, et non pas, pour ses compétences. Il en est dépourvu. Cambadélis est une sorte de Tonton Macoute français des temps contemporains. Il frappe dans le tas, et réfléchit ensuite, et encore, pas toujours. Il faut voir comment, il menaça Emmanuel Macron, après sa déclaration à propos des 35 heures. On se verra lundi, en tête-à-tête. Le Parti Socialiste est une sorte de Cosa Nostra aux ramifications troublantes. Quand on pense que Jean Veil fut l'avocat de Dominique Strauss-Kahn, et qu'il obtint son blanchiment dans l'affaire de la Mnef. Français, Françaises soyez vigilants...