Marguerite Duras a-t-elle collaboré avec les nazis ?
On nous a beaucoup parlé du roman de Marguerite Duras « La Douleur » (Le Livre de Poche 2018), et du film qui en fut tiré par Emmanuel Finkiel. Marguerite Duras avait une mémoire à trous. A propos de La Douleur, elle écrivit : « J'ai retrouvé ce Journal dans deux cahiers des armoires bleues de Neauphle-le-Château ». Un village, où, elle occupait une maison de campagne, un lieu connu pour avoir accueilli l'assassin extrémiste, et islamiste, l'ayatollah Khomeiny. A propos de La Douleur, Marguerite Duras écrira encore : « Comment ai-je pu écrire cette chose que je ne sais pas encore nommer, et qui m'épouvante quand je la relis. » A noter que Marguerite Duras, écrit sans sourciller : « J'étais du PCF sans doute à ce moment-là parce que c'était un texte qui avait trait à un affrontement de classes. » C'est faux ! C'est un mensonge, une dissimulation de plus de la part de la perverse, Marguerite Duras. La direction du Parti Communiste Français déclara que jamais, Marguerite Duras n'avait été inscrite officiellement parmi ses militants. A la Libération, nombreux furent ceux qui rejoignirent le Parti communiste, pour faire oublier une attitude coupable. Actuellement dans ce pays, pour la presse, soit on moleste des politiques comme François Fillon, soit on refuse d'écrire la vérité sur le bilan tragique de François Hollande, soit on refuse d'admettre et d'écrire que Marguerite Duras fut pendant la Seconde Guerre Mondiale, une détestable collaboratrice de l'armée allemande qui occupait Paris, et la moitié de notre territoire. Pour vous persuader de ce que j'avance, une fois encore, je vous recommande de lire « C'était Marguerite Duras 1914-1996 » publié au Livre de Poche (mars 2014), dans la collection La Pochothèque par son biographe officiel, Jean Vallier. Le premier roman de Marguerite Duras n'était pas bon. Certains reconnaissaient trop l'influence d'Ernest Hemingway. Son édition fit l'objet d'un chantage de la part de Marguerite Duras (un de plus)qui reconnut : « Si, mon premier roman a paru finalement, c'est que je faisais partie d'une commission du papier (c'était pendant la guerre). Il était mauvais... » A l'époque, Marguerite Duras était l'épouse de Robert Antelme qui, en mai 1941, entra au service du ministre du maréchal Pétain, Pierre Pucheu qui sera un des premiers fusillés, à Alger, en mars 1944. Marguerite Duras, comme l'affirme son biographe, Jean Vallier, devint secrétaire de la commission de contrôle du papier d'édition. Un poste de collabo des allemands qu'elle occupa de juillet 1942, jusqu'au début de 1944. Pendant que d'autres résistaient ou étaient déportés, Marguerite Duras prenait le thé chez son voisin, l'écrivain Ramon Fernandez en compagnie de Drieu La Rochelle, Robert Brasillach, Marcel Jouhandeau, et, le lieutenant Gerhard Heller, chargé d'organiser la censure des publications françaises. Jolies fréquentations ! Je demande que soit réservé à Marguerite Duras et à son œuvre, le destin préconisé pour Louis-Ferdinand Céline. Je demande qu'on en parle, que cessent ces mensonges. Oui, Marguerite Duras fut une collabo ! Il faut le reconnaître, et que cesse, à Gauche ses délires admiratifs insoutenables !...