Marie-Noelle Lienemann s'accroche aux rideaux de l'antique scène politique...
Toutes les années, à la même période, c'est-à -dire, pour l'université d'été du Parti Socialiste, depuis quelques années à La Rochelle, les caciques du Parti truqueur et menteur ressortent de sa boîte de naphtaline, la jappeuse conventionnée, Marie-Nono, les crocs en bataille. Dommage, qu'elle ait si rapidement oublié, les visites à François Mittterrand, dans sa maison de Latché. Les repas dominicaux, partagés avec l'ancien ministre de l'Intérieur de la République française qui ordonna en 1956, la condamnation et l'exécution des résistants du FLN, en Algérie, alors encore française. Décidément, Marie-Nono qui connaît bien mal l'histoire de France, mange à toutes les tables, et dans toutes les assiettes. Marie-Nono n'est pas regardante. Occupa t'elle, lors de ces agapes la place, où s'était probablement assis, quelques jours auparavant, l'infernal René Bousquet, l'ami de Mitterrand jusqu'à la dernière heure. Cet odieux collaborateur que Mitterrand protégea à chaque étape de sa carrière. Alors, après cela, Marie-Nono est très mal venue, pour donner des leçons de conscience à quiconque. Et pourtant, trompant une fois de plus, les Français, Marie-Nono s'exprime de sa petite voix grinçante et pincée à la télévision. Et, elle en met un coup. Je sais. Je sais. Je sais. Que voulez-vous, Marie-Nono, comme son camarade de jeux, Jean-Luc Mélenchon, croit savoir ce qui est bon pour les Français et les Françaises ? Hélas, tous deux ne connaissent que de très anciennes recettes. Toutes, sont des essais non transformés, si ce n'est en autant de drames, pour la population. Leurs recommandations inquiètent, à tous les niveaux de l'édifice social. Tartandouille grince des dents, ce qui fait qu'il ressemble encore plus, à Jacques Doriot. Jean-Marc Blaireau porte son regard au-dessus de l'océan. Comme, il aimerait être un nouveau Victor Hugo. Il chante : une île, entre le ciel et l'eau... » J'ai peur que Guernesey ne soit bien loin, et que comme pour Napoléon, les destins de Tartandouille et de Blaireau ne s'achèvent bientôt, dans un Saint-Hélène contemporain. Pendant ce temps, Marie-Nono remonte au creneau. Je sais. Je sais. Dis-nous, Marie Nono, et si, tu prenais un peu de repos ? Si, tu retournais dans ton carton à chapeaux, au fond de ce vieux placard, utile seulement une à deux fois par an, et dont cette année, tu n'aurais pas du sortir. Profite, Marie-Nono, tout cela ne durera, plus longtemps...