Mazarine Marie Pingeot une embusquée de la République…
Mazarine Marie Pingeot a toujours le bec ouvert pour se plaindre, et quand je dis le bec. Mazarine Marie Pingeot, en fait, en veut au monde entier. Pourquoi ? Parce que Mazarine Marie Pingeot ne se remet pas d’avoir été un jour « outée ». Du fait, Mazarine Marie Pingeot en veut à toute la planète. Particulièrement aux paparazzi. Encore plus spécifiquement à un paparazzo. Je ne vous dirai pas son nom. Il vient d’écrire un livre. Il se prend pour un artiste. Il s'expose. C’est toujours bien d’écrire un livre, quand on est paparazzo. On gagne des sous. Mazarine Marie Pingeot écrit des livres. Oui, mais Mazarine Marie Pingeot est la fille d’un homme dont on ne peut être fier (sauf Hollande tartandouille) de l’avoir eu pour père. Impossible mission. Comment, Mazarine Pingeot Marie, née en 1974, pourrait-elle être fière, d’un tel père ? Et pourtant, elle l’est. Un homme qui écrivit au maréchal Pétain, pour lui demander de recevoir la francisque, doit être répudié à jamais. Un homme qui fut trop longtemps employé par Vichy. Comment, Mazarine Marie Pingeot pourrait-elle en être fière. Oui, comment ? Comment, tout simplement échapper à la question de l'hérédité ? Tiendrait-elle une partie de son caractère de son père ? N'a-t-il pas passé en politique, lui aussi, une grande partie de son temps, à se lamenter sur son sort d'incompris ? Elle était alors lamentable sa destinée. Il fallut la faiblesse, l'aveuglement du général de Gaulle, pour lui permettre de poursuivre sa carrière, après la déshonorante affaire du faux attentat de l'Observatoire, en 1959. Et l'ignoble trahison de Jacques Chirac pour en faire un président de la République. Une ignominie renforçant le pouvoir d'un être irrespectable. Et pourtant, Mazarine Marie Pingeot est une donneuse de leçons de morale. On rigole. Un homme qui fut l’ami de René Bousquet, jusqu’aux derniers jours de l’horrible milicien, jusqu’à son exécution. Comment en être fière, la malheureuse Mazarine Marie ? Je vous pose la question ? Mazarine Marie Pingeot devrait être plus modeste. Si, j’avais eu un père comme celui-ci, capable d’enfiler le costume de Léon Blum, pour être élu premier secrétaire du Parti Socialiste, au Congrès d’Epinay. Quel profond mépris pour les électeurs socialistes, pour les Français en général. Je ne pourrais en être fier. Mazarine Marie Pingeot s’en moque. Elle dresse la tête, prête à mordre ? Certains, trouvent ses apparitions à la télévision, son attitude, indécentes. Moi, aussi. Mazarine Marie vient de publier un roman. Pouvait-il s'intituler « Personne ne m'aime », titre attaché à l'œuvre d'Elsa Triolet ? Une autre malheureuse. A Paris, il y aura toujours, un ou une journaliste de gauche, pour trouver du talent à Pingeot Marie Mazarine... Hélas !...