Michel Havard pour ses vœux, fit une Escale triomphale dans le 6e arrondissement, et distribua quelques coups de trique…...
Accueilli à l'Escale lyonnaise, dans des locaux très souvent utilisés par Dominique Nachury, conseiller général et député du Rhône, Michel Havard démontra au sein de toute son équipe, et devant un public déterminé, qu'il menait un juste combat à l'Hôtel-de-Ville, face au socialiste, Gérard Collomb. On voyait des visages connus : Emmanuel Hamelin, Laurence Balas, Jean-Michel Duvernois, adjoint aux affaires scolaires du 6e, Pierre Berat, suppléant de Dominique Nachury, Hervé Brun, adjoint au Commerce, Saïd Chellali, Gilles Berrodier, Nora Berra, Damien Gouy-Perret, et son patron, le maire du 6e, Pascal Blache, etc. Dans la salle, on reconnaissait : Jean-Jacques David qui fut un maire efficace, parfaitement inoubliable par ceux qui furent ses administrés, Erick Roux de Bézieux, Bruno Vincent, ex-président de la Chambre de Commerce et d'Industrie, Jérôme de Mourgues, etc. Michel Havard fit le bilan de l'année 2015. Notamment, les meurtrières attaques djihadistes qui endeuillèrent notre nation. Il revint sur ses nombreux projets, repris à son compte, par Gérard Collomb en les dénaturant. Michel Havard dénonça les mensonges du sénateur-maire, dans la mise en place de la Métropole devenue, non pas, une source d'économies, mais, une énorme machine à produire des frais financiers, dans l'esprit du grotesque François Hollande. Il était légitime que Michel Havard aborde la mise en place des primaires au sein des Républicains. Il reconnut à chaque candidat des valeurs spécifiques. Contrairement, aux journalistes vendus au pouvoir socialiste, et aux idées de gauche, toujours empressés d'entendre à Droite des dissensions, Michel Havard ne laissa aucune ambiguité dans sa présentation des différents candidats aux primaires. Michel Havard rappela sa position, et celle de son groupe dans deux affaires préoccupantes pour les Lyonnais : la gestion de la Villa Gillet, par son directeur, Guy Walter, et la situation catastrophique du Musée des Tissus, depuis que François Hollande et ses amis ponctionnent les finances de toutes les Chambres de Commerce et d'industrie du territoire. Discutant avec le conseiller municipal, Emmanuel Hamelin, celui-ci me confia qu'il avait demandé la démission de Guy Walter, dont le salaire, et les diverses indemnités sont scandaleusement élevées, au détriment du Bien public. Pour le Musée des Tissus, Michel Havard salua la prise de position de Laurent Wauquiez (dont l'élection fut vivement applaudie par une salle enthousiaste) qui vient de déclarer qu'il apporterait son soutien au futur renflouement de cette institution bénéficiant d'une pétition de plus de 80 000 signataires. Georges Képénékian, premier adjoint, en charge de la Culture, ricane comme un sinistre fossoyeur de musées (Musée des arts africains, Musée de l'Hôtel-Dieu, etc). Prudence, derrière son sourire, l'homme est fourbe. Il avance la promesse d'un accord avec le Louvre, pour se débarrasser du « bébé ». Nous nous souvenons, de l'attitude malveillante de Georges Képénékian, pendant l'affaire de la vente frauduleuse de la collection d'objets d'art, et de mobilier de Napoléon Bullukian qu'il n'a jamais connu. Une situation houleuse qui réclame de la vigilance de la part de Michel Havard, Emmanuel Hamelin et Laurent Wauquiez. Ils n'en manquent pas. Souhaitons à Michel Havard, et à ses amis fidèles, une heureuse année dans sa vie politique, et privée.