Municipales. Etienne Blanc bénéficie de la confusion généralisée...
Alors, qu'il vient d'atteindre 20 % des intentions de vote des électeurs pour les municipales, Etienne Blanc qui n'est pas candidat aux élections métropolitaines, démontre que sa candidature n'est pas un hasard, mais, le fruit de deux années d'analyses et de rencontres avec la population lyonnaise. Ce résultat est d'autant plus admirable qu'Etienne Blanc, qui est un véritable lyonnais de souche, l'a obtenu sans le concours du journal local Le Progrès, plus engagé dans le soutien de pseudos hommes de gauche, comme Gérard Collomb, voir même, d'un journaliste d'extrême-droite un temps collaborateur du journal : Minute. Le Progrès, berceau de la franc-maçonnerie locale, n'apprécie pas la liberté d'esprit d'Etienne Blanc, bon chrétien, esprit droitier, mais sans excès, qui a rassemblé sur ses listes six femmes sur neuf candidats. Un bel exemple ! Etienne Blanc prouve, malgré le mépris de la presse gauchisante, qu'il peut incarner l'homme capable de donner un nouveau souffle à la capitale des Gaules. Et, Dieu sait, si, après trois mandatures de Gérard Collomb, par ailleurs le meilleur candidat pour gérer la Métropole, la ville de Lyon a besoin d'initiatives neuves, et d'hommes et de femmes de la génération montante : Myriam Fogel-Jedidi dans le 1er, 41 ans, Pierre Oliver dans le 2e, 27 ans, Béatrice de Montille, dans le 3e une circonscription difficile, 42 ans, Anne Pellet, dans le 4e, 56 ans, Anne Prost, dans le 5e, où, Thomas Rudigoz vient de se faire une réputation de traître qui ne respecte rien, et surtout pas sa parole, 56 ans, Pascal Blache, dans le 6e, 54 ans qui devra se faire à l'esprit d'équipe incarné par Etienne Blanc, Emilie Desrieux dans le 7e, 41 ans, Stéphane Guilland dans le 8e, 49 ans, et, Karine Gaudinet Guérin, dans le 9e, lumineuse image d'un possible renouvellement. Je crois que vous devez rejoindre cet élan nouveau pour tourner définitivement, par une heureuse aubaine, la page d'un passé trop lourd, qui s'achève dans la caricature d'un théâtre dramatique, où les traîtres pullulent, à l'exemple de David Kimelfeld, Georges Képénékian, Thomas Rudigoz, et, Hubert Julien-Laferrière. La Droite et le Centre attendaient un homme engagé, simple d'accès, même s'il est habitué à la réussite, et qui n'est pas, je le répéte, un personnage parachuté, mais, un candidat valeureux, issu des meilleures familles lyonnaises. Je vous recommande, vivement, une lecture attentive de son programme : des économies pour la ville de Lyon comme il le fit pour la Région, Faire de Lyon la plus grande ville-jardin en Europe, Concevoir un « Davos de la santé » à Lyon, Hisser Lyon au rang de la ville la plus sûre de France, un Maire (avocat de formation et de profession) qui assumera pleinement son rôle dans la chaîne pénale, des Mobilités sur les questions d'énergies et de logement, etc. Les Lyonnais et les Lyonnaises, révoltés par les errements des ex-amis de Gérard Collomb, se rassemblent, enfin, autour d'un projet innovant, la candidature d'Etienne Blanc.