Nicolas Dauze, une moitié de journaliste...
Bavard, comme dans les contes arabes. Il parle, comme jouent de la flûte, les charmeurs de serpents, au coeur de l'Orient. Il souffle ses mots, comme sifflent les plus dangereux reptiles. Cet être est d'autant plus féroce qu'il a inversé le système. Nicolas Dauze est un crotale qui menace d'endormir ses auditeurs ou ses téléspectateurs. Qu'il soit à la radio, ou à la télé, il délire insupportablement, sans fin, sans début non plus. Il peut déverser sur vous sa logorrhée néfaste pendants des éternités. Il fait partie des imbéciles incultes qui s'embourbèrent dans la sottise, pendant la crise des subprimes, en 2008. Croyez-vous qu'il ait tiré leçon de cette expression de sa nulllité ? Pas du tout, comme son confrère François Lenglet, il sévit encore, de la même façon que les banquiers reproduisent les mêmes abus financiers qui nous conduiront à la même catastrophe. Pire probablement. S'il apparaît sur votre écran de télévision, il ne vous reste qu'une seule parade. Eteindre votre poste...