Nouvelle défaite de la presse vendue, et, chute définitive de Nicolas Sarkozy...
Croyez-vous que cet affront les confinera au silence, ou, à la modération ? Après la victoire de Trump, sans honte, après leur échec, ils continuèrent à plastronner. On évoquait la Droite la plus bête. Disposerions-nous de la presse la plus stupide de l'univers ? Serions-nous des modèles en matière de stupidité médiatique ? Oui ! Pourquoi ? Parce que nos pisse-copies ne sont pas des journalistes d'opinion, mais des plumitifs militants, bouffeurs de soupe, roués à moudre le grain des puissants : dirigeants politicards faussement diplômés, francs-maçons encocardés, syndicalistes enmerdaillés, etc. Leur pitoyable inspiration ne nait pas d'une enquête sérieuse. Non ! Mais, de la reproduction de discours convenus, stéréotypés, entendus et répétés partout, à la mode commode. Les chaînes d'informations, comme BFM ou LCI, sont des machines à redistribuer la bouillie insane récoltée souvent dans les plus sales marmites. Les plumaillons sont fourbes, à l'image de Laurent Joffrin qui se nomme en fait, Laurent Mouchard, et, dont le père fut le financier de Jean-Marie Le Pen. Sur le Net, on voit une photo de Laurent Mouchard avec Jean-Marie Le Pen. Mouchard, ce nom lui va si bien, on ne pouvait trouver mieux. La rédaction politique de France 2 peut avoir honte de David Pujadas qui rivalise de traitrise avec Laurent Mouchard. La question indigne qu'il posa à Nicolas Sarkozy, lors du dernier débat des primaires de la Droite, mérite un blâme. Hélas, il n'y a plus de déontologie dans la presse contemporaine. Quant à Jean-Pierre Elkabbach, c'est un fantôme qui a oublié la recommandation de Georges Marchais, alors, premier secrétaire du Parti Communiste, il y a une quarantaine d'années : « Taisez-vous Elkabbach !... » Elkabbach fut sordide. Quand ils ne sont pas agressifs, parce que blanchis sous les contraintes, ces avaleurs de couleuvres, sont incultes, comme ces dizaines de jeunes journalistes, souvent en jupons qui font la démonstration quotidienne de leur incompétence. Victime de toutes les injustices et des pires outrances (mises en examen abusives, accusations mensongères, délations en tous genres, etc), Nicolas Sarkozy a perdu. Homme de bonne volonté, et de réelles compétences, il est parti dans la dignité.