Pascal Praud, journaleux mytho cire la planche de Marine Le Pen
Nous savions, nous l'avions bien compris, Pascal Praud désormais affectionne le rôle de serpillère de l'information. Il batifolle dans les déjections médiatiques. Ses plaisanteries les plus simples sont les plus stupides. Il le voudrait, mais il ne parvient jamais à nous faire rire. Face à la rouée Marine Le Pen, Pascal Praud atteignit le sommet de la duplicité. La fille de Jean-Marie était venue pour qu'on lui fasse sa pub. Elle fut servie par un Pascal Praud plus docile et conciliant qu'une armée de hérons à la pêche en eau trouble. Il déclara, ce qui a traumatisé les véritables esprits démocratiques, que le parti de Marine Le Pen était le premier de France. Pascal Praud a perdu là une occasion de fermer sa vaste goule. Pour une fois, Gérard Leclerc résista courageusement en prenant le contrepied des propos amphigouriques de Marine Le Pen à propos de ses déclarations sur le coronavirus pas plus claires que celles d'Emmanuel Macron et d'Edouard Philippe, le clown à la barbe bicolore. La nouvelle est inquiétante. Renforcée par les peurs des électeurs français face à montée des décès, le positionnement du parti de Marine Le Pen le place en situation favorable pour remporter les prochaines élections présidentielles, puisque personne ne semble en mesure de lui faire barrage, à part, peut-être les écolos, si les Français persistent à leur accorder leur confiance, comme ils le firent pendant la mascarade des élections municipales. A droite, il n'y a personne, à part Eric Woerth. Entre parenthèses, avez-vous vu Valérie Pécresse et sa nouvelle coiffure de grisonnante platinée aux cheveux aplatis comme ceux d'une concierge de l'avenue Montaigne le jour du décès de Marlene Dietrich ? Je vous promets la publication de ce cliché historique très bientôt, ici même. Amis, soyez vigilants, car Pascal Praud ne fait pas que désespérer Billancourt. Il plonge dans le doute et l'ennui les télespectateurs de la chaîne d'information en continu.