Patricia Allémonière, comme toute la rédaction de TF1, soutient les Frères musulmans...

Comment des journalistes français, soit-disant, indépendants, peuvent-ils régulièrement, prendre des positions mettant en avant, au Moyen-Orient, les malheurs de ceux qu'ils nomment bêtement les « rebelles » ? Comment, la rédaction des journaux de TF1, peut-elle s'engager derrière la cause des extrémistes, et des terroristes musulmans ? Pourquoi ? La disparition du président Syrien, Bachar el Assad ferait-elle le jeu d'Israël, et des sionnistes ? Pourquoi, voit-on Netanyahou sur les écrans de télévision, dans le dos du grand incompétent, nommé Barack Obama, comme s'il tirait les fils d'une marionnette ? Le premier ministre israélien pousse les Etats-Unis à entrer en guerre, à bombarder Damas, comme ils le firent ignoblement, en Yougoslavie. Il faut voir Fabius, plus marquis de Carabas que jamais, évoquer un possible engagement des forces françaises sur le territoire syrien, comme s'il sagissait d'acheter un meuble, ou un tableau de plus, pour son immense collection, sur la place des Vosges, à Paris. Décidément, tous les socialistes français sont de sacrés zozos. Ils sont aussi inconséquents que le radical Edouard Daladier qui déclara la guerre à l'Allemagne, en 1939. Comment, Patricia Allémonière peut-elle, comme journaliste, couvrir de tels projets ? Le mot guerre ne veut-il plus rien dire, pour elle ? Le sang des morts syriens, des civils syriens, paiera-t-il le sang des « rebelles » ? Que savons-nous de la vérité des horribles images que les journalistes français se plurent à déverser sur nos écrans, toute la semaine dernière ? Furent-elles fournies par les « rebelles » ? A partir de là, pouvons-nous avoir confiance ? Les frères musulmans, les membres d'Al Qaïda, les jihadistes sont suffisamment organisés, pour mettre en scène les images d'un massacre. Les journalistes français ont-ils oublié, la honte qui s'abattit sur eux, lorsqu'ils découvrirent que les photographies des charniers, à Timisoara, étaient le fruit de truquage ? Patricia Allémonière veut-elle imposer le même affront, à sa profession ? La France est-elle le gendarme du monde, alors qu'elle est incapable de faire la police, à Marseille, et dans toutes les autres banlieues où le feu couve inexorablement ? Quel gendarme peut être cette France entartouillée qui dissimule la vérité sur l'attentat de Brétigny-sur-Orge ? Tous les jours, des voitures brûlent dans toutes les banlieues. Je n'entends pas Patricia Allémonière parler de ces problèmes. Patricia Allémonière est grand reporter. Que ferait-elle sans guerre ? N'y a-t-il pas du charognard, dans son coupable métier qui attise trop souvent les haines, entre les communautés humaines ? On sait bien que les journalistes français, comme Patricia Allémonière, comme sa petite camarade Liseron Boudoul, sont attendues par les partisans, par les disciples des frères musulmans, pour se faire de la publicité. Une pratique commune, constante, et sans frais. TF1, et les autres chaînes de télévisions prennent les téléspectateurs français pour des gogos. Ils trouvent là de quoi alimenter des heures d'antenne, à peu de frais. Ceux qui paieront seront les Etats, et les familles des victimes mortes au combat. Halte au feu !... La guerre en Syrie n'aurait rien de commun, avec l'intervention Sarkozyste, en Libye. Rien. Nous avions échappé au carnage, en Irak. Nous sommes toujours engagés en Afganisthan, et, au Mali. Ne sommes-nous bons qu'à faire la guerre ? Remarquons que, comme Sarkozy, Hollande Tartandouille s'allie avec David Cameron. J'ai honte, de tous les maîtres de guerre, de gauche, comme de droite.