Patrick Pelloux, l'urgentiste sous ordonnance présidentielle...
Patrick Pelloux, devant le réquisitoire de Christophe Barbier sur Itélé, reconnaît que François Hollande et son gouvernement ont perdu du temps, depuis les attentats de Charlie Hebdo. Les paroles de Manuel Valls, à propos d'éventuelles nouvelles agressions, sont des constats d'impuissance devant les actions sanglantes des terroristes djihadistes. Elles révèlent l'impuissance de François Hollande, de Jean-Yves Le Drian, de Bernard Cazeneuve, et de Laurent Fabius. Mais, Patrick Pelloux demeure un partisan de la politique de François Hollande. Il attaque bêtement, Nicolas Sarkozy. Depuis, plus de 3 ans, François Hollande pouvait répondre aux implorations de Bachar el-Assad. Il ne l'a pas fait. Il a refusé. Il s'est entêté. C'était un choix politique. Il ne doit pas compter sur une Union nationale, pour éviter d'assumer ses responsabilités, pour éviter la démission. Une personnalité honnête, et loyale aurait présenté sa démission. François Hollande s'accroche à son siège élyséen, avec le soutien de Patrick Pelloux. Il est incontestable que le corps médical a parfaitement réagi dans ces circonstances tragiques. Nous n'avons pas besoin de Patrick Pelloux pour le savoir. Patrick Pelloux se comporte, comme une marionnette, il doit être confondu avec François Hollande, dans notre réprobation de l'inaction du gouvernement socialiste. Que Patrick Peloux exerce son métier d'urgentiste, et qu'il cesse de jouer les pompiers monomaniaques des incendies allumés en France, par l'inconséquence meurtrière de François Hollande.