Pendant, et après les manifestations du 5 mai 2013, minable spectacle sur TF1, BFMTV, et toutes les chaines du PAF officiel...
Alors que Jean-Luc Mélanchon réussissait son pari, sur la place de la Bastille. Alors, que les opposants au mariage et à l'adoption pour tous, mobilisaient encore des milliers de personnes aux Invalides. Sur les chaînes de télévision française, le spectacle était déshonorant pour les journalistes hexagonaux. Sarkozy fut trainé dans la boue tous les jours. Au bout d'un an de déconfiture, et 365 mensonges, Moscovici se plaint devant Christophe Barbier : Vous êtes trop durs, vous détruisez l'image présidentielle... Mais, nous constatons le contraire, et tous les jours... La presse française, c'est-à-dire : Christophe Barbier, Jean-Jacques Bourdin, Alain Marschall, Sonia Mabrouk, Claire Chazal, David Pujadas, Laurent Delahousse, Marie Drucker, Elice Lucet, Gilles Bouleau, Julien Arnaud, Olivier Truchot, Nicolas Domenach, Jean-Michel Apathie, etc, etc, sont prêts à tout pour conserver leurs sièges éjectables. Honte sur ces pseudo-défenseurs de l'éthique du journaliste français. Elle est belle l'éthique, la liberté du journaliste, quand on les voit tous trouver des circonstances à un président tartandouilleur, menteur, affabulateur. J'ai profondément honte pour eux. Ils ont sacrifié leur indépendance, ce sont des esclaves du pouvoir, des porte-voix sans âme. Hier, leur mot d'ordre était : Haro sur Jean-Luc Mélanchon. Mélanchon est un arriviste. Mélanchon ment à ses amis communistes. Il veut être premier ministre, etc, etc. Depuis quand, les journalistes interviennent-ils dans les débats avec des opinions personnelles, surtout dans les journaux d'informations ? Après cela, quelle liberté pour les journalistes ? Quel respect méritent-ils ? Aucun. La situation de la presse, comme celle du syndicat de la magistrature, est véritablement lamentable. Nous sommes dans le détournement d'informations, dans l'abus de pouvoir, car la télévision et la radio sont de redoutables machines à convaincre les électeurs. Et même, dans la délation... Pendant ce temps-là, Hollande-Tartandouille manipule les sondages, prépare des dossiers prédigérés pour ses informateurs protégés. Dites ce que je vous dis, et pour le reste, fermez là, tonne le vilain méchant petit dictateur, à la Doriot. Dans l'affaire Cacahuzac, les journalistes n'ont pas fait leur travail. On est resté à 600 000 euro d'argent planqué. Mais, on évoquait 10 à 15 millions indispensables, pour ouvrir un compte dans ses banques étrangères malpropres. Pourquoi ne parle t'on plus de ce détournement au complet ? Qui a donné l'ordre de modifier le cap ? Pourquoi, toute la presse a-t-elle changé d'orientation ? Pourquoi la presse ne parle-t-elle plus du coût de la guerre au Mali ? Que nous rapporte-t-elle ? Et, le cumul des mandats ? Hollande Tartandoulle se montre moins pressé de le faire voter que la loi sur le mariage et l'adoption pour tous, pourquoi les journalistes n'en parlent-ils plus ? J'ai honte des instruments, des robots que sont devenus les journalistes français de toutes les générations... Heureusement, les Français, les électeurs, le peuple, tous ne sont plus dupes de ces conditionnements infâmes. Honte à ceux qui se laissent décérébrer !... Honte au père Hollande Tartandouille, et à tous ses amis...