La passion de l'art et de la culture toujours aussi ardente
par Paule Martigny

Alain Vollerin est désormais un être céleste. Son œuvre et son esprit lui survivent, dont ce blog créé avec moi-même en 2011. L'aventure perdure, mais sans ses décapants Coups de Trique. Ils étaient sa signature. Celle d'un esprit libre et clivant : « l’insolence en réponse à l’indolence ». Son édito est archivé et consultable dans la rubrique Coups de Trique.
Continuez à lire blog-des-arts.com où des articles sont régulièrement publiés dans les rubriques Livres, Art, Littérature, Livres jeunesse, BD, Gastronomie et Spécial Fêtes. L'action culturelle et artistique de Mémoire des Arts est toujours engagée dans l’esprit de transmission. Un autre style, mais une même volonté de partage des connaissances. Moins au vitriol, mais espérons le, toujours avec pertinence et dans un souci d’indépendance.
A Lyon, la galerie, 124 rue de Sèze, présente des œuvres de peintres lyonnais de la deuxième moitié du XXe et du XXIe siècle, ainsi que la collection des livres d'art écrits par Alain Vollerin et édités par Mémoire des Arts.
N’hésitez pas à consulter le catalogue des éditions Mémoire des Arts sur memoire-des-arts.com

à nous dire

Pierre Charon tire brutalement la charrue Sarkozy, avec de très gros sabots...

Vendredi, 6 Juin, 2014 - 06:21

Pierre Charon creuse le sillon de Sarkozy, comme un croque-mort ouvre une tombe...

Pierre Charon est un lourdaud politichien. Ayant usé le fusible Copé, jusqu'à la lie, Sarkozy qui est le responsable de tous les malheurs de l'UMP, avait besoin d'un nouveau pantin, pour incarner ses manœuvres de polichinelle, avide de pouvoir. Sarkozy ne voulait pas de François Fillon, à la tête de l'UMP. Sarkozy considère François Fillon, comme une sérieuse menace. Comme il a raison, car le peuple ne supporte plus les mensonges, les manipulations, les magouilles, les trafics de fric, etc. Face à Sarkozy qui est impliqué dans près d'une dizaine d'affaires judiciaires, François Fillon est l'emblème de la droiture. Il est à ce jour inattaquable. Dans un monde politique pourri jusqu'à la moelle, si François Fillon avait des casseroles, il y a longtemps qu'à gauche, comme à droite, on les brandirait sous le pif en zinc des journalistes vendus au pouvoir tartandouillesque. Sarkozy n'a pas hésité à encourager Copé à tricher pendant les résultats de l'élection du premier secrétaire de l'UMP. Les urnes furent bourrées, comme dans la plus ignoble des élections jihadistes. Depuis, Copé s'était enrobé dans les habits de ses maîtres. Il délirait. Il se voyait président de la République. Au final, il a tout perdu. Copé est totalement décrédibilisé au regard de l'opinion publique. Comment, Copé a-t-il pu couvrir l'affaire Bygmalion ? Tant d'argent détourné. Au profit de qui, de Sarkozy ? Hélas, l'UMP n'a plus de chef ! Il n'y a plus que des clans et des rivaux, prêts à toutes les invectives, à toutes les menaces. La presse infâme se régale, et pousse au crime. Pire que des chiens, selon la définition de l'abject Mitterrand, les journaleux guettent les premières gouttes de sang, comme des hyènes aux chevets de vieilles brebis crevardes au cœur du désert. Qui croit encore que Sarkozy est un homme politique providentiel, dans cette période troublée par les entartandouillades hollandaises ? Sarkozy ne devait pas se représenter, en 2012, les Français l'avaient rejeté. Il a permis l'élection de Tartandouille, avec le concours des voix du FN. Si Sarkozy se représente, Hollande Tartandouille sera réélu, à moins que Marine Le Pen ne profite encore du désespoir des électeurs. Copé est mort politiquement. Il devait être jeté à la porte. Il a souhaité agoniser, jusqu'au 12 juin, comme un tennisman bluffeur qui vient d'être éliminé, en quart de finale de Roland Garros. Pendant ce temps-là, Pierre Charon envahit les plateaux de télé et de radio, le mépris au front, l'injure au bord des lèvres. Il plaide l'indéfendable cause de Sarkozy. Mais, les Français doivent se reprendre. Il n'est plus temps de regretter la défaite de Sarkozy. Il n'était pas capable d'apporter les solutions nécessaires. C'était François Fillon qui dirigeait le pays en profondeur, pendant que Sarkozy occupait le devant de la scène, en pyromane cambrioleur. Si Sarkozy persiste dans sa volonté de diriger l'UMP, pour se présenter aux présidentielles de 2017, alors, François Fillon devra quitter l'UMP, et s'engager à la tête de ses troupes, où figurent des personnalités aussi valeureuses et talentueuses qu'Eric Woerth et François Barouin. Des vérités doivent être dites, pour que les Français ouvrent les yeux sur la réalité du personnage Sarkozy qui mena la France au ridicule de la présidence Tartandouille, dont le programme ne contient que des illusions : réforme territoriale, pacte économique, redressement, retournement, etc, etc... Si vous croisez Pierre Charon, si vous le voyez à la télé, éteignez votre poste...