Potins d'Angèle et La Mère Léa, coup de faux-cul dans une poêle à frire…
Il y a longtemps que perconne ne lit plus les potins d'Angèle. Ces menus crotins survécurent longtemps avec les achats des élus les plus influents, style Michel Mercier, qui redoutaient les coups de langue de celui qui rêvait d'être une marionnette célèbre et qui n'était qu'un guignol. Ce triste pisse-copie longtemps soutien indéfectible de Gérard Collomb avec lequel il déjeunait une fois par semaine dans le respectable bouchon animé par la famille Josserand, le Jura. Les Potins servent à leur auteur à régler ses comptes. Jaloux, il utilise l'aptitude au méfait d'un lascar taillé comme un haricot vert, au propre comme au figuré. Un triste sire que je soupçonne de ne pas aimer manger, ni rire. Une affaire de jalousie qui conduisit cet habitant des poêles à frire à se rendre chez La Mère léa où Christian Morel, Christian Têtedoie et le chef Eric Chamarande remportent un vif succès depuis la récente ouverture, accueillant 140 couverts par service. On ne peut juger une si noble maison à la qualité de son tablier de sapeur. Je fais entièrement confiance à Eric Chamarande, héritier talentueux de Philippe Rabatel, véritable successeur de le Mère Léa. Pour ne pas marcher dans les cotins, ne vous fiez pas à ces Potins qui ne font plus recette, si ce n'est dans l'aigre et le fiel. Amis soyez vigilants…!!!