Quand on parle abondamment, pour dire des conneries, parce qu’on à rien à dire…

Connaissez-vous Etienne Chouard ? Non ! Tant mieux pour vous ! C’est une sorte de militant de l’impossible qui veut faire la révolution, et qui, à force de se transporter sur les ronds-points, à convaincu les plus irréductibles gilets jaunes qu’il fallait mettre en place le Référendum d’Initiative Citoyenne. Ce qui est une façon ignoble de gouverner à la place du président de la République, élu loyal de notre système démocratique. François Mitterrand, président ami d’antisémites notoires, comme Jean-Paul Martin et René Bousquet, n’était pas un homme de dialogue avec le peuple. Ayant menti sur son état de santé, à propos de sa prostate cancéreuse, il fit taire les rumeurs, en imposant aux journalistes le culte du consensus que certains qualifièrent de « mou », adjectif qualificatif idéal, pour définir l’action de ce grand malade, dans ses dernières années, où il fut protégé par celui qui le fit élire contre Giscard d’Estaing, le traître, Jacques Chirac. Aujourd’hui, la bavasserie est à la mode. Nous sommes saoulés de paroles, des plus incongrues aux plus violentes. Nous entendons glapir les journalistes les plus incultes, les pseudos spécialistes, les représentants abscons des gilets jaunes, mais aussi, des sifflets verts et des andouilles perverses, etc. Au final, les gilets jaunes auront révélé leur appétit de faire de la politique. Ils auront permis aux fascistes d’extrême-droite, comme d’extrême-gauche de « casser du flic et des vitrines » dans toutes les grandes villes de France, sous la bienveillance de Marine Le Pen, et de Jean-Luc Mélenchon, une fois encore, unis dans la même abjection. Comme elle est moche la Droite française avec Christian Estrosi, Thierry Mariani, Nicolas Dupont-Aignan, Eric Ciotti, Laurent Wauquiez, François Bayrou, etc. Ils n’ont rien à dire. Ils n’ont pas de programme. Heureusement, il y a Emmanuel Macron, capable de fédérer toutes les énergies, sauf, celles des pires extrémistes, comme Eric Drouet, et, Etienne Chouard. Amis, Soyons vigilants !...