Second débat sur BFMTV, les sept galériens de l'impossible sont toujours aussi soporifiques...
On a vu. On a compris. On va faire. On dit, c'est fait. On est comme ça. C'est dit, c'est fait. La pire de ces protagonistes, dans l'admiration du bilan de François Hollande, c'est Sylvie Pinel. Présente par la volonté de son maître, François Hollande. On se rase. On s'ennuie. Toujours les mêmes promesses. Sylvie Pinel est issue de la nébuleuse Baylet, un magnat de la presse du Sud-Ouest, rien d'étonnant. Et, un seul objectif sauver leur peau, leur image protéger un éventuel fauteuil de député au moment des futures élections législatives. Nous nageons en plein océan de reniements. Le pire c'est Manuel Valls, premier ministre de la fraise des bois (selon la définition de Laurent Fabius), il y a encore quelques semaines. Tout est bon pour faire du buzz. On a vu Laurent Mouchard (Laurent Joffrin) de Libération chougnognotter sur le mérite des sept valets de la politocratie gauchiste. « C'est pas facile de préparer un tel débat ». Sinistre plumitif flagonneur ! Quelle tribune pour les sept politicards ! Y en a marre ! Jamais les vrais problèmes des français ne sont abordés sérieusement. C'est normal. N'avons nous pas vu le gouvernement de François Hollande s'engager dans deux ou trois grosses sottises par semaines. Hollande se glorifie d'avoir fait une trentaine de voyages en Afrique. Dommage, qu'il n'ait pas pris plus de soin à traiter les salaires des français pour les augmenter. Dans ces débats, les sept menteurs démontrent qu'ils n'ont pas de programme. François Hollande n'en avait pas, ni avant, ni après son élection voulue par Marine Le Pen, et François Bayrou. Pour faire illusion, François Hollande se jeta dans les bras de Barak Obama qui le rejeta dès qu'il n'en eut plus besoin, et Gattaz, auquel, il offrit des millions, sans résultat, tombant ainsi dans un piège grossier. Voici, la politique que soutien Vincent Peillon, le Robespierre contemporain, Syvie Pinel inoxydable Sainte-Nitouche, et Manuel Valls, risible girouette déjà rejetée par les électeurs. Manuel Valls manifeste sa mauvaise humeur, sa hargne, sa haine. Triste perspective pour ce catalan furibard. Ces débats auront révélé un clown politichien Jean-Luc Bennhamias ! Au bout du compte, personne n'a vraiment compris ce qu'il pensait, les sourires du dogmatique, Vincent Peillon étaient révélateurs à ce sujet. Les propositions utopiques de Benoît l'ànon ont fait rire beaucoup Ruth Elkreif, et Laurence Ferrari. Tant pis pour elle. Vincent Peillon était satisfait de son passage de cinq mois au gouvernement, alors qu'il y a toujours des milliers d'élèves qui entrent en sixième sans savoir lire, et écrire. Bravo ! Que pensent ces sept inconvenants des propos de François Hollande sur les « Sans dents », des hausses d'impôts soutenues par Macron, de Valérie Trierweiler détériorant la vaisselle de l'Elysée avant de céder la place à Julie Gayet qu'Hollande rejoignait sous son casque au volant de son scooter, du manque de protection de l'équipe de Charlie Hebdo, de l'imprudence de François Hollande s'extasiant le 14 juillet à la télévision alors que le soir même un djihadiste assassinait des dizaines de personnes, et les affaires : Cahuzac, Morelle, etc. Le bilan de François Hollande est indéfendable, mais, pour nos marionnettes socialistes, tout va bien...Tout doit continuer... Craignons le pire !...