Ségo, boîte à couics, ou à couacs ?…
Plus de couics, ni de couacs, nous disait-on, après le remaniement, et l’effondrement du système Ayrault (très simple, il consiste à ne rien faire d’utile, tout en jappant, comme un molosse furieux). Mais, à l’impossible, nul n’est tenu, et surtout pas le pouvoir socialiste, plus délirant que jamais. Alors, que l’histrion valseur passe tous les trois jours à la télévision, malgré les congés, Ségolène poursuit sa politique du couac tout à trac. Ainsi, à propos de l’Ecotaxe, elle avait déclaré avant de s’asseoir dans le fauteuil ministériel trop grand pour ses compétences qu’Hollande tartandouille avait préparé pour l’impossible Cécile Duflot : Trop d’impôts ! Trop d’impôts ! On accable les Français déclamait Ségo… Bien assise, sur son maroquin éjectable, la voici qui avance un nouveau projet d’impôt, pour les poids-lourds. A l’Assemblée Nationale, les députés renvoient l’irruptive Ségolène à sa cure de neuroleptiques. Pas question d’accepter, ce qu’elle juge comme un mépris de ses camarades de jeu. Et la voici, une fois de plus recalée, en situation d’échec. Mais, fidèle à sa désastreuse image, elle rue dans les brancards. Mépris ! Boules puantes ! Je ne me laisserai pas enfermer ? Enfermer ? Mais, par qui ? Il y a trop longtemps, que le cas Ségo perturbe le corps médical… Ils ne savent comment l’interner… Alors, si Manuel Valls avait trouvé la solution, il aurait rempli une des missions que lui a confié François Hollande…