Ségolène Royal manipulée par Hollande Tartandouille…
Comme, elle avait l’air contrite à la télévision pour annoncer qu’elle acceptait sa nomination à la vice-présidence de la BPI, dont elle sera le porte-parole. Certains se moquent d’elle, et affirment qu’elle exagère le rôle que lui a confié le président Hollande Tartandouille. Comme, ils ont tort. Ségolène, les traits tirés, prématurément vieillie, vient d’accepter d’être l’un des portes-paroles d’un rouage du projet d’emploi pour les jeunes, dont Jean-Marc Ayrault et le gouvernement affirment qu’il est un des axes principaux de la reprise de l’Etat socialiste, élu avec les voix du Front National qui n’a jamais été si haut dans les sondages. Forcément, la presse aux ordres ne cesse pas de présenter Marine Le Pen et ses amis, comme des personnalités politiques correctes, alors qu’ils demeurent inféodés aux thèses nazifiantes du père Le Pen. Ségolène Royal, comme François Tartandouille ne sait pas s’exprimer normalement. Il faut qu’elle crie, qu’elle soit véhémente, qu’elle s’excite. Que va t’elle faire à la vice-présidence de la BPI dont le directeur est un de ses amis de l’E.N.A. ? Creuser le déficit de l’Etat Français ! Faire des dettes ! Car la relance de François Tartandouille Hollande n’est rien d’autre que cela, vivre à crédit. Il contamine les pays d’Europe déjà endettés. Achetez, Empruntez, Economisez Cette formule fit beaucoup d’effet dans les années soixante. Comment, si on achète, peut-on faire des économies ? Ne demandez pas à Ségolène Royal de vous l’expliquer, elle va vous embrouiller. D’abord, elle n’en sait rien, elle-même. Elle aboie dans le vide. Elle dit elle répète sa leçon, à laquelle elle n’a rien compris. François Mollande Tartandouille a lâché ses chiens de garde. Tout le pays est envahi. Toutes les estrades. Toutes les tribunes. Devant tous les micros. Toutes les caméras. Des militants tartandouilleurs, rompus à l’art du mensonge et de la carambouille verbale, défendent les thèses hollandaises, et parmi elles, son principal fleuron : « Vivons à crédit, mon bon ». Ségolène Royal ne fait pas mieux. La banque qu’elle vice-préside va prêter de l’argent aux entreprises (jeunes de préférence) et cela va créer des emplois, beaucoup, beaucoup… Encore, et toujours des promesses. Comment croire qu’il suffit de prêter de l’argent à une entreprise pour qu’elle embauche ? Les socialistes seraient-ils si naïfs ? Reprenant un mot d’ordre qui fit la faillite du Front Populaire, Ségolène s’égosille : « demain, on rase gratis… empruntez gratis, embauchez gratis… » La relance est un leurre hollandais. Notre dette mondiale devient un abîme. Mais cela n’a plus d’importance pour Hollande Tartandouille. Les journalistes truqueurs en service commandé déclarent 100 millions d’investissement pour la guerre au Mali. Où la France trouve-t-elle les moyens de poursuivre de telles dépenses. A qui, et comment devrons-nous les rembourser ? Les Français ne régiassent pas. Ils subissent. Le général leur avait trouvé une dénomination : des veaux !... Les français amorphes. Pour combien de temps ?...