Solère, ou comment, en politique, la mollesse mène à la trahison...
Il vient nous dire, que le premier ministre est son meilleur ami, alors, qu'il verra, selon les circonstances, s'il votera les lois présentées par le disciple d'Alain Juppé, lequel, porte la responsabilité du retour du félon Bayrou, lorsqu'il lui ouvrit stupidement les portes de la ville de Pau. Comment, a-t-on pu confier au père Solère la responsabilité d'organiser les primaires de la Droite ? Cette machine à désunir, à exposer les ressentiments de chacun, à défendre les égoïsmes, à brasser les plus sombres projets, etc. Trop long ! Hélas pour lui, solaire, Thierry ne l'est jamais. C'est un gris béta, incapable de maintenir l'unité de son parti. Trop ouvert ! Il vente par toutes ses issues. Triste présage, réélu, il déshonorera encore l'hémicycle ! Quel moche exemple, pour les jeunes élus, pour ceux qui représentent la nouvelle génération ! Pourquoi, faut-il exclure Thierry Solère ? Oui, pourquoi ? Parce qu'il incarne ce qu'il y a de pire en politique : la trahison. Oui, désormais l'image de Thierry Solère est celle d'un lâcheur. Au cœur de la tourmente, plutôt que de serrer les rangs autour de François Fillon, de le protéger, il l'abandonna, préférant mordre dans la plaie béante qui divisait son camp. Même, Jean-François Copé fut plus courageux que Thierry Solère, c'est dire, le minable niveau moral de ce personnage à bannir. Battue à Paris, Kosciusko-Moricette ne représente plus aucun danger pour ses amis républicains. Laissons-là plonger dans le silence, et la réprobation générale. Nous l'espérons pour longtemps. Il est l'heure, pour elle, de payer la note de ses tribulations malsaines. Si, les Républicains n'excluent pas Thierry Solère, l'exemple de sa traîtrise demeurera impuni. Elle sera légitimée. Et, cela, les Français ne le veulent plus. Le fort niveau `d'abstention en témoigne. Si, Thierry Solère détenait une once de courage politique, il s'en irait de lui-même. Alors, placés devant l'inacceptable, les amis de Thierry Solère devront le pousser vers la porte de sortie. La plus petite, de préférence !...