Sonia Mabrouk, journaliste impérialement socialisée, sur Public Sénat...
Sur Public Sénat, quand on voit Sonia Mabrouk interviewer ses invités, surtout des membres de l'opposition de droite, on est stupéfait par son attitude. Pour elle, la presse n'a plus d'éthique. Elle est juge et partie. Ses interviews sont des réquisitoires à l'encontre des élus de droite. Ainsi, en recevant Bernard Accoyer qui fut président de l'Assemblée Nationale, nous l'avons vue lui faire subir un véritable interrogatoire. De journaliste supposée impartiale, elle revêtit soudain les habits d'une Martine Aubry dans ses aspects les plus virulents. C'est-à-dire, un bouledogue. Sonia Mabrouk face à un Bernard Accoyer toujours poli et courtois, utilisait avec une terrible arrogance les arguments de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault. Elle voulait absolument que les chiffres du chômage actuel soit le résultat de la politique de Nicolas Sarkozy. Alors, que nous voyons bien que l'accélération du chiffre du chômage (plus de 2 000 chomeurs de plus chaque jour), correspond exactement aux affirmations et décisions de François Hollande, qui ne cesse d'agresser les industriels tous types d'entreprises confondus, depuis son élection. En quatre mois, ils firent une performance dont nous nous serions passés. A force de menacer les patrons, ils les ont découragés, et le chômage décuple dans des proportions jamais atteintes. Le signal est fort. Il est effrayant. Avec les couacs à répétition du gouvernement, une situation digne de la troisième République s'installe inexorablement. On peut craindre le pire pour l'avenir de la France. Sonia Mabrouk a choisi son camp. Elle devra assumer les responsabilités de son attitude anti-déontolongique. Public Sénat est une chaine d'Etat qui ne doit pas permettre à des journalistes d'être partisans.