Sonia Mabrouk, sur Public Sénat, péremptoire, comme de bien entendu…
Sans avoir l’air de rien. Sonia Mabrouk, dont on se demande à chaque fois qu’elle apparaît à l’écran, ce qu’elle fait là, dans ses plus beaux atours. Elle a toujours l’air de sortir, avant d’y retourner, d’une de ces soirées parisiennes qui firent sa renommée. Est-ce du Dior ou du Azzedine Alaïa ? Tenue coquine pour Sonia qui n’a pas souvent l’air très à l’aise, sur ses chaussures à très hauts talons. Que voulez-vous, on a le costume de travail qu’on peut. N’est ce pas ? Le maquillage, fait lui aussi, dans le tapageur. Il ressemble à celui qui était exigé par certaines chaînes du PAF, à l’heure déjà lointaine, des télévisions libres. Comme le temps passe vite ! Sur le plateau de Public Sénat, Sonia Mabrouk demeure sur le qui-vive. Quelque soi le sujet, en femme de son époque, elle a son opinion, très proche de celle du gouvernement, naturellement. A sa manière, avec ses moyens, Sonia Mabrouk participe à la tentative généralisée de réhabilitation de François Hollande-Tartandouille, orchestrée par Claude Sérillon. La France, prend un jour, ses distances avec l’Allemagne. Le lendemain, Hollande-Tartandouille congratule le peuple allemand. Comment, Sonia Mabrouk fait-elle pour vivre en harmonie avec ses convictions personnelles ? A moins, qu’elle n’en ait pas ? Sonia Mabrouk fait partie de ses innombrables journalistes qui n’hésitent pas à sortir de leur rôle, pour enfiler le costume d’inquisiteur. Il ne s’agit plus d’interroger gentiment, mais de sommer les invités de répondre. Surtout lorsqu’ils sont de droite. On cherche la faute. On pousse à l’erreur. La sentence est toute prête. La délation se profile à l’horizon. En France, les journalistes français de gauche entretiennent un climat de terreur. Hélas, Sonia Mabrouk n’échappe pas à la règle. L’inquisition stalinienne est à notre porte. Soyons vigilants…