Tapie, Bayrou, et Hollande, les impunis de la République...
Les journalistes travestissent les faits ce qui fait le jeu de ces redoutables manipulateurs qui viennent plastronner, sans aucune honte. Pour être accueilli, il faut avoir été condamné par la justice française. Plus la peine était lourde, plus on vous sourira. Le pire exemple, c'est Bernard Tapie. Il voudrait nous faire croire qu'il est blanc comme neige (nouvelle couleur de sa tignasse) dans l'affaire du Crédit lyonnais qui lui a versé de lourdes indemnités. Au fil de la procédure, Bernard Tapie doit plus de 400 millions d'euros, à l'Etat français. Pendant ce temps, il vient donner son opinion sur la situation sociale et politique, soutenu par une presse soumise. La vérité est beaucoup plus lourde sur les épaules de Bernard Tapie. Sa stratégie est toujours la même, il cherche à se victimiser. Tapie nous prend pour des crétins. Un journaliste a osé la bonne question à Bernard Tapie : Que deviendront vos dettes après votre décès ? Bonne question ! Il y a un véritable risque, car, Bernard Tapie souffre d'un cancer. Mais, pourquoi a-t-il arrêté de prendre son traitement ? Rien n'est simple, avec Tapie. Ses enfants ont le droit de refuser son héritage. L'affaire du Crédit lyonnais est très complexe, terrain idéal pour Nannard. Il y a encore beaucoup d'argent en jeu. Des personnalités importantes furent impliquées, de Nicolas Sarkozy à Christine Lagarde. Bien entendu, Bernard Tapie, contrairement à ce qu'il prétend, était à la manœuvre, en permanence. La justice française aura-t-elle le courage d'imposer une juste sanction, une peine de prison qui semble justifiée. Autre bénéficiaire de la clémence de la presse, François Bayrou, ministre garde des sceaux démissionnaire, pour de sales magouilles à la Commission européenne. Pourquoi, n'en parle-t-on plus ? Que fait la presse ? Bayrou, et ses amis du Modem, seront-ils punis ? Par ailleurs, François Bayrou est toujours sous la menace de procédures dans le cadre de ses fonctions de maire de Pau. Des associations ont déposé des plaintes. Où en sommes-nous ? Nous ne pouvons lui faire confiance ! Et encore moins, porter un crédit à ses analyses partisanes. Le dernier impuni, c'est François Hollande qui fit obtenir des subsides au patronat, qui vendit des avions Dassault impayés à l'Egypte, qui avec son ami, Michel Sapin creusa notre dette nationale, qui méprisa la Russie en cédant aux Egyptiens les bateaux qu'ils nous avaient payés, etc. Dommage qu'il n'y ait plus d'autorité pour équilibrer les pratiques des journalistes. Amis, soyons vigilants !...