Taubira et Duflot unies contre Valls...
Pendant l'université des écologistes, elles se sont revues avec un plaisir construit. Beaucoup de plaisir étudié, préparé à dessein. On a très peu vu Eva Joly. Pas utile, alors inutile. Tobi et Dudu éclataient de bonheur. Tobi et Dudu batifolaient comme des petites folles, devant les caméras de télévision totalement complaisantes. Elles se parlaient « en messe nasse ». C'est-à-dire à l'oreille. Il paraît que c'est très mauvais genre. Mais, pour se dire quoi ? Le Valls, le Manu, ont l'a bien eu, ce petit prétentieux ! T'as bien fait de venir Tobi, avec les écolos, en matière de vacheries, tu seras servie. Ici, nous sommes les maîtres du genre. Etait-ce, ce que nos deux folâtreuses se disaient à l'esgourde ? Ou plutôt, Tobi, ces sièges sont vraiment pourris. T'as raison, Cécilou, qu'est ce que j'ai mal au cul ! Tu crois qu'il est trop gros, mon cul ? Non, ma chère Tobi. Moi, aussi, j'ai mal à mon cul ? Pourtant, il est pas aussi gros que le tien, mon cul. Tobi, mon chou, dis-moi, mon cul. Aïe, j'ai bobo à mon cul. Moi, aussi Cécilou. Et pendant ce temps, Tobi et Dudu se papouillassaient la frimousse. Manuel Valls, elles s'en foutaient complètement. En apparence seulement. Mais, comme elles jouaient bien à faire croire, à tous les journalistes inféodés, à tous les téléspectateurs français, en leur amitié de circonstance. Souvenez-vous. Cécile Duflot est une habituée de ce genre de mises en scène politichiennes. Elle avait accompli, un exercice semblable, avec Martine Aubry et Ségolène Royal, l'an dernier. Menteuses patentées. Sinistres marionnettes. Au fait, le spectacle continue. Dis moi, Dudu, et si, c'était la faute à ces maudites chaises. J'ai l'impression qu'elles font mal à nos gros culs. Tu crois pas, ma Dudu ? Vous le voyez, l'université d'été des écologistes, admirables avaleurs de couleuvres entartandouillées, méritait toute votre attention.