Trierweiler, la répudiée de la république entardandouillée, fait sa pub sur l’innocence des jeunes filles enlevées au Nigéria…
Trierweiler a sauté sur l’événement. La libération des jeunes filles emprisonnées par Boko Haram. Elle, la pseudo spécialiste de l’engagement humanitaire. Plus ébravagée que jamais, les traits tirés, les cheveux en bataille, sur Canal +, Trierweiler avait de la peine à dissimuler sa très mauvaise humeur. Hollande tartandouille n’est plus un vilain salopiaud. Jetée comme une moche serpillière, Trierweiler pardonne ses vilaines manières, au sinistre pingouin élyséen. Tiens, tiens… Et d’où lui vient cette pusillanimité imprévisible ? Combien ça coûte, comme disait Jean-Pierre Pernaud ? Comme elle était grimacière, la dame Trierweiler… Comme elle est lointaine, l’époque où elle jouait la première… Où elle refusait d’inaugurer les chrysanthèmes, selon une formule gaullienne qui a encore du sens. Maintenant, Trierweiler n’a plus que cela… Triste destin !... Mais, revenons aux picaillons… Combien, le montant du chèque qui lui a si bien fermé le bec ? Hélas pour elle, il n’y a pas de grandeur, ni de dignité dans sa situation. Dans cette position, de répudiée de la Nation sur le retour, Trierweiler est à jamais incrédible, pendant que Ségolène triomphe dans ses amphigouries de ministre détesté par tous ses confrères. Faut voir la binette qu’elle tire, la Ségo assise aux côtés de Montebourg, l’un de ses pires ennemis !... Valérie Trierweiler la mine blafarde, les yeux exorbités fait peur aux Français et aux Françaises. Croquemitaine pitoyable, elle dessert la cause de ces malheureuses jeunes filles…