UMP, la presse partisane,et baragouineuse, nous donne envie de vomir…
Comment, des journalistes peuvent-ils accepter de servir la soupe, au président hollande, et à son gouvernement d’hystériques ? Au passage, signalons que la discussion de la loi Macron à l’Assemblée nationale vire à la piste aux étoiles. Toujours plus clownesque, la prestation du fusible Macron !... Pendant ce temps-là, on ne nous parle plus du pacte de Responsabilité qui devait générer tant et tant d’emplois. Les pisseurs de copies, ou de bavardages télévisuels sont à la manœuvre, et, les plus jeunes sont les plus odieux, bêtement partisans, et insupportablement incultes. L’élection dans le Doubs leur fournit l’occasion de s’acharner sur l’UMP. Et, piapiapi, et piapiapia… Comment, peuvent-ils accepter d’être, aussi niais et mesquins ? Comment ? Pour ces illuminés, il faut que ce parti soit dans l’erreur stratégique, dans la désunion, et Sarkozy, un minable, incapable de gérer son parti. A tous prix. Tous les motifs sont bons pour reprendre les mêmes arguments stériles, à la moulinette, sur tous les médias. Et, on tente d’opposer Juppé à Sarkozy, et, on crie à l’incompétence de la direction de l’UMP. Heureusement, Alain Juppé a montré beaucoup de dignité. Il n’a pas voulu entrer dans ces combines de plumitifs vendus. Sur France 2, on atteint des sommets. David Pujadas mène l'interrogatoire. Alain Juppé lui répond. Pujadas insiste. Il fait l’imbécile, sans beaucoup d’efforts. Historiquement, les journalistes répondant à la sollicitation du pétainiste, porteur de francisque, François Mitterrand, ont fabriqué au fil des années, la cote du Front National qui faisait 0% sous Giscard, et maintenant, ils consolident celle de Marine Le Pen. Quelle responsabilité ! Ils l’invitèrent à la radio, à la télévision. Elle a changé, disaient-ils. Elle n’est pas comme son père. Malheureusement, il n’en est rien. N’oublions pas, que François Hollande fut élu avec les voix du Front National, selon la stratégie de Marine Le Pen, et avec la complicité de la presse. J’ai honte pour ce manque d’objectivité, cette haute trahison. Ce sont des employés. Ils sont aux ordres, et, au Monde, en particulier, de Pierre Bergé. Vous rendez-vous compte ?... Quelle déchéance !