A l'Hôtel du Département, Christophe Guilloteau a favorisé le triomphe des Beaujolais nouveaux...
Dès l'entrée, la porte de l'Hôtel du Département rayonnait des trois couleurs, harmonieusement valorisées, de notre République. Une soirée fastueuse, que ce mercredi 15 novembre 2017, administrée par le président du Département du Rhône, Christophe Guilloteau qui avait ouvert tous les salons d'honneur, pour accueillir ses partenaires : Pierre Fanneau, directeur général du Groupe Progrès, et, Dominique Piron, efficace président de l'Union Interprofessionnelle des Vins du Beaujolais. Tous les trois firent des interventions courtes, pour ouvrir rapidement les multiples buffets, abondamment pourvus de rutilants plateaux de charcuterie (saucisson, jambon blanc, tête roulée, etc). Nous étions, à quelques heures, de la présentation légale du Beaujolais Nouveau, pour une mise en perce originale en Avant-première mondiale. Le célèbre couturier, un rien fantasque, Jean-Charles de Castelbajac a signé l'affiche de la rencontre entre la belle jolie et le beau jolais. Il faut saluer les généreux partenaires : Monts et Coteaux du Lyonnais, Commerce et Artisanat de proximité, Fédération des Coteaux du Lyonnais. Déambulant dans ses décors, nés du raffinement du Second Empire, on voyait Georges Képénékian, qui n'a pas le droit à l'erreur et qui le sait bien, entre deux cachets de Tranxène, Denis Broliquier prêt à serrer toutes les paluches, même celle de François Bayrou, le très sympathique nouveau préfet du Rhône, monté de Marseille, Stéphane Bouillon qui fait oublier son prédécesseur, Henri-Michel Comet, injustement humilié par le Ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, un jeune pénaliste très prometteur, Hervé Banbanaste, et son frère, Laurent, Gisèle Lombard qui a de la peine à écrire plus de trois lignes dans le Progrès, dommage, Gérard Angèle flagorneur patenté des édiles lyonnais, Pascal Blache qui attend en position du tireur allongé l'heure des municipales, sa traîtrise inoubliable envers Michel Havard, préfigurait celle de Thierry Solère, et autre, Gérald Darmanin, Georges Matray, membre éminent de la Confrérie des Compagnons du Beaujolais (dans laquelle, Christophe Guilloteau fut accueilli, il y a 33 ans) à l'honneur en cette circonstance flatteuse pour leur breuvage préféré, etc. J'ai assisté à un spectacle extraordinaire dont je veux que vous profitiez. J'échangeais quelques mots amicaux, avec Pierre Fanneau, directeur général du Progrès, s'il vous plaît. A l'instant, où, je lui faisais compliment de l'harmonie de ses lunettes bleues assorties à son costume. Je le vis porter ses mains sur ses lunettes qui se mirent à clignoter, comme un soir d'illumination à la Vogue aux marrons. Super ! Il paraît qu'il offre cet accessoire lumineux, à ses meilleurs commerciaux. Dans ce genre de soirée, on croise des êtres inclassables, comme ce personnage bouffi de suffisance qui se prétend journaliste. Quel spectacle ! Une soirée inoubliable, confirmant le réel talent de Christophe Guilloteau qui fit oublier, sans effort, un certain sénateur dont la carrière s'achève de manière surprenante, et, quelque peu décevante...