C'était la fête, dans la rue Pizay à Lyon...
Sous le soleil, la rue Pizay ressemblait à Saint-Tropez. Quelle bonne idée cette ouverture, cette rencontre entre commerçants, et habitants. Malgré son chagrin, après le décès de son mari, Henri Hugon, Arlette avait motivé ses troupes pour accompagner ses voisins ; le Théâtre des Trente, la Salsa, Casa Lola, etc. Quel courage!.... On peut dire que pour traverser cette dure épreuve, Arlette Hugon est absolument admirable. Le lendemain, dimanche 7 juin 2015, Eric et Arlette avait organisé la dispersion des cendres du père Hugon, au-dessus de la vigne dont ils sont propriétaires, à Villié-Morgon, non loin des vignobles de Marcel Lapierre, dans ce cru de Morgon dont Henri célébra toujours les mérites. Les amis étaient au rendez-vous. Ils n'oublieront jamais cette haute figure de la gastronomie lyonnaise traditionnelle qui fait l'honneur des bouchons non labellisés.