18e Rapt / JC Lattès
San Francisco. Trois jeunes enseignantes disparaissent sans laisser de traces. Elles paraissaient pourtant bien joyeuses pendant leur dîner au restaurant. Bizarre, trois d’un coup. Peu après le corps d’une femme est retrouvé, elle est pendue dans la baignoire d’un hôtel de passe. Il s’agit de l’une d’elles. La pression médiatique est d’autant plus forte qu’elles étaient toutes les trois employées bancaires. Il faut apaiser les peurs. Le sergent Lindsay Boxeur soutenue par ses amies du Women’s Murder se démène. Son mari Joe Molinari également policier, rencontre une jeune bosniaque terrorisée qui affirme avoir reconnu un criminel de guerre serbe, pourtant déclaré mort. Elle est formelle, elle est l’une de ses victimes et fut témoin de ses crimes odieux. Il a tué son mari et son petit garçon. Elle a survécu et porte une horrible brûlure à la joue. Elle a réussi à émigrer aux Etats-Unis sous un autre nom. Bâtis sur un réel travail d’investigation, l’intrigue et le suspense sont ménagés de main de maître. La suite tient en haleine. James Patetrson est l’un des auteurs de thrillers le plus lu au monde. Les enquêtes du « Women’s Murder Club » ont été adaptés à la télévision, dont elles constituent l’une des séries phares. Écrivain et scénariste, James Patterson est né le 22 mars 1947 à Newburgh (New York) et vit aujourd'hui à Palm Beach en Floride. Féru de Charles Dickens et de thrillers, il débute sa carrière à l'âge de 27 ans avec The Thomas Berryman Number. Il en fut récompensé par le Edgar Award du roman policier. En dehors de ses séries à personnages récurrents, la bibliographie de James Patterson compte des ouvrages comme La diabolique (1998), Souffle le vent (2000), La dernière prophétie (2001), Celui qui dansait sur les tombent (2002), Vendredi noir (2003), Pour toi Nicholas (2004), L'été des machettes (2004), La Maison au bord du lac (2005), L'Amour ne meurt jamais (2006), Lune de miel (2006), Garde rapprochée (2007), Promesse de sang (2008), Une nuit de trop" (2009), On t'aura prévenue (2009), Dernière escale et Une ombre sur la ville (2010). Traduit de l’anglais par Nicolas Thiberville. 15 x 23 cm. 400 p. 22€. Paule Martigny