Après la mort de Giscard d'Estaing, je témoigne de ma profonde erreur…
Révolutionnaire avec mes petits camarades en 1968, je méprisais l'action du général de Gaulle en Algérie, l'élection de Georges Pompidou l'éternel dauphin, et enfin, Valéry Giscard d'Estaing toujours honni depuis l'époque où il était ministre des finances du général de Gaulle et son âme damnée Raymond Barre ministre des finances comme lui, élu député de Lyon dont plus un lyonnais et plus une lyonnaise ne se souviennent. Ils l'ont totalement oublié. Lyon est jalouse de ses dirigeants, elle n'a jamais apprécié ni fait confiance à ce natif de l'ile de la Réunion. Nous ne pensions pas à l époque que nous tomberions si bas avec la présidence éhontée de François Hollande l'ami de Strauss-Kahn l'un des pires voyous de notre République, soutenu par sa riche épouse, héritière de centaines de tableaux de haute valeur, Anne Sinclair. François Hollande qui reste toujours impuni, à se demander s'il suffit en France d'être franc-maçon pour être protégé de tous ses forfaits, et pour Hollande la liste est longue depuis l'époque où il cassait la vaisselle présidentielle avec sa copine Valérie Trierweiler et la socialiste Julie Gayet. Que n'eut-on dit et fait à Valéry Giscard d'Estaing s'il s'était adonné à de telles pratiques? La presse de gauche ragaillardie par le journal L'Humanité l'aurait découpé en petits morceaux. N'oublions pas que les socialo-communistes français dirigeaient notre pays, depuis que le général de Gaulle leur avait abandonné le pouvoir en 1947. Comme il est drôle de voir aujourd'hui tous ceux qui bavaient leur haine contre Giscard d'Estaing le porter aux nues toute honte bue. Sa fin en témoigne, Giscard a manqué de chance. Sa destinée est triste, l'épidémie de corona empêchera la mise place des funérailles nationales qu'il mériterait amplement. Faut-il proposer de le mettre au frais jusqu'à des jours meilleurs pour lui rendre enfin les honneurs